1. À disposition


    Datte: 29/07/2020, Catégories: fh, amour, fsoumise, hdomine, contrainte, pénétratio, attache, BDSM / Fétichisme piquepince, sm, fsoumisah, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... obéit. Il souleva la couche de son esclave et plaça la barre sous le matelas à environ un tiers du bas, avant de reposer la couche.
    
    — Entraves de chevilles et de poignets, annonça-t-il.
    
    Elle ouvrit le tiroir correspondant et en sortit les deux paires demandées.
    
    — Mets-les, ordonna-t-il.
    
    Elle obtempéra, plaçant une à une les attaches en cuir, les serrant aux réglages convenant à sa taille.
    
    — Allonge-toi, dit-il doucement.
    
    Elle se mit en position. Il attrapa des mousquetons, des bouts de chaînes et des cadenas. Il commença par s’occuper des poignets. Il finit par trouver la juste taille afin qu’elle puisse passer une nuit complète dans la position sans en souffrir. Le but était qu’elle soit disponible, pas qu’elle s’éveille avec un bras mort parce qu’un nerf avait été bloqué ou un vaisseau sanguin pincé.
    
    Il géra aisément les chevilles car la barre, plus grande, offrait une utilisation plus aisée. Il ouvrit ensuite un tiroir et en sortit des lanières en cuir larges. Elle l’observa avec attention, curieuse de voir l’amélioration qu’il comptait apporter à son idée de base. Il commença par attacher une lanière au-dessus de son genou gauche, sur le mollet, et une seconde au-dessus, sur la cuisse. Il s’assura que le tout n’était pas trop serré avant de faire de même à droite. Enfin, il attacha le cuir à la tringle de chaque côté. Il ne tira pas sur les liens. Il ne voulait pas qu’elle souffre de la position mais qu’elle ne puisse en changer. Elle voulait être ...
    ... contrainte ? Elle serait servie.
    
    — Serre les cuisses, ordonna-t-il.
    
    Elle essaya mais elle ne fut en mesure de les resserrer que de quelques millimètres. Nue, elle lui était totalement offerte. Il pouvait user d’elle à volonté. Il la mata ostensiblement puis la regarda dans les yeux, lui sourit avant de lui souhaiter une bonne nuit.
    
    Il se changea, mit son pyjama, entra sous les couvertures et éteignit la lumière. Elle testa la position, bougeant un peu, son esprit intégrant peu à peu la galère dans laquelle il se trouvait. Elle était prisonnière. Le moindre mouvement lui était interdit. La situation l’excitait mais elle ne pouvait espérer se satisfaire et son Maître ne semblait pas du tout d’humeur à la soulager.
    
    — Dors, ordonna-t-il depuis son lit.
    
    Elle dut se résigner à trouver le sommeil, nue, attachée, jambes écartées, offerte aux désirs de son Maître.
    
    Quelle sensation étrange que de se faire réveiller par deux doigts fouillant son intimité. Il avait été très silencieux ou bien elle dormait très profondément, car il ne l’avait pas réveillée en bougeant, elle pourtant qui a d’habitude le sommeil si léger. Il joua avec ses petites lèvres et son vagin, faisant des allers et retours imprévisibles, la faisant sursauter, gémir de plaisir ou de douleur, selon qu’il caressait ou griffait. Elle se tordait dans ses liens, impuissante, incapable d’échapper à sa volonté. Les doigts furent remplacés par un sexe gros et dur.
    
    — Tu aimes te faire baiser ? demanda-t-il ...