Beau-père
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: sensualites, Source: xHamster
... perdait pas une occasion de forniquer avec les domestiques qui défilaient à la maison à une cadence plutôt insolite.
Plusieurs fois, il avait surpris dans la maison la voix un peu honteuse de ces jeunes femmes sous forme de chuchotements, mais aussi de rires et de soupirs dont il ne connaissait pas dans un premier temps la signification réelle.
Ce n’est qu’à un âge plus avancé, lorsque mon futur époux était tout juste étudiant, qu’il prit la fâcheuse habitude d’occuper son temps, au lieu de développer sa propre sexualité, de traquer et de récolter les moindres indices des forfaits de son paternel, jusqu'à les consigner dans un cahier.
Il y avait, répertorié à chaque fois, une description de la proie, son âge (le plus souvent une jeune femme d’une vingtaine d’années, mais il eut aussi des partenaires bien plus âgées…), le lieu du forfait, et la description des indices qui lui parvenaient chaque fois qu’ils ne laissaient aucun doute sur la nature de l’activité accomplie. Cela pouvait aller de témoignages sonores qui parvenaient jusqu’à ses oreilles, de traces laissées sous la forme d’objets déplacés, défaits ou abandonnés et qui témoignaient d’autres abandons…
Si le père était un collectionneur de maîtresses particulièrement assidu, le fils n’en était pas moins assidu à en répertorier les prouesses.
"Et puis un jour je t’ai rencontré ! Et j’ai abandonné tout intérêt pour ce qui est des culbutes à répétition de mon père !"
Il me dit cela avec air d’évidence ...
... qui me déstabilisa. Je me rendis compte ainsi que sans le savoir, un lien s’était établi entre son père et moi sous la forme d’une rupture qui semblait salutaire.
J’aurais dû m’en féliciter, mais curieusement, je ressentis comme une pointe de regret, comme s’il me manquait la suite d’une histoire dont j’espérais bien obtenir des éclaircissements.
— Et qu’est-ce que tu as fait du cahier ?
Il me répondit posément qu’il l’avait gardé dans un coin et je me rendis compte que je retenais un soupir de soulagement.
C’est, quelques jours plus tard, que je profitai d’une de ses absences pour mettre la main sur l’objet convoité. C’était un petit journal de format écolier, mais plutôt épais. Au hasard, j’en entrepris la lecture.
Samedi 18 mai :
Cela fait trois jours que nous avons engagé une nouvelle bonne qui s’appelle Noëmie et qui est plutôt jolie, avec son beau visage aux traits fins et sa silhouette aux rondeurs de jeune demoiselle. Ce qui ne gâte rien c’est que le costume que nous mettons à sa disposition lui va à ravir. Elle fait l’effet, avec son corsage blanc qui laisse deviner une poitrine généreuse, sa jupe mi-courte serrée à la taille et ses cheveux corbeaux tirés en arrière, d’une charmante soubrette telle qu’on pouvait en rencontrer dans les années 1900.
Comme cela m’arrive malheureusement souvent, j’étais moi-même tombé sous le charme de cette ravissante employée. Mais évidemment je n’étais pas le seul et j’étais quant à moi, bien trop timide pour ...