1. Beau-père


    Datte: 28/07/2020, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: sensualites, Source: xHamster

    ... s’agissait bien de la même personne, sans quelques détails qui confirmèrent ma première impression.
    
    " Oh oui, branle-toi sur mes nichons, ils sont tout à toi… J’ai vu comme ça t’excitait l’autre soir de les reluquer à travers mes vêtements pendant tout le repas… T’étais pas gêné mon petit salopard de me désaper rien qu’avec ton regard et de me fixer dans les yeux comme si tu voulais me dire que c’était fait. Comme une évidence que je serais dans ton pieu aujourd’hui, pour me faire sauter comme une petite catin… et ça ne te gênait pas de me baiser du regard à côté de ta femme et de ton fils et alors que mon mari, ton ami François, était assis à côté de moi !… T’as gagné mon cochon !"
    
    C’était complètement surréaliste d’entendre cette femme qui était une vraie bourgeoise, jurer comme une poissonnière, tout en gardant ce timbre de voix un brin snob, que j’avais entendu durant tout le repas.
    
    Mais je n’étais pas au bout de mes surprises ! Quelques instants après, je la voyais à quatre pattes se faire posséder par mon père et ce qu’elle se mit à vociférer me renseigna sur un détail technique…
    
    — Comme c’est bon ! Vas-y… Bourre-moi bien à fond !… J’aime te sentir dans mon cul !
    
    Cette nouvelle scène me fascinait littéralement. Voir ainsi cette femme mariée et respectable se faire enculer avec une telle exaltation avec ses grosses tétines qui ballottaient sous elle et voir mon père derrière elle, arc-bouté, lui agrippant les hanches pour lui baiser le fondement avec une ...
    ... superbe énergie !…
    
    Je n’ai pas lu tous les détails d’un récit qui devait se prolonger encore et laissait à penser que les ébats adultères de ces deux amants avaient duré un certain temps…
    
    En feuilletant encore ce gros cahier qui devait bien faire deux cents pages et qui était presque entièrement rempli d’une écriture serrée, je réalisai l’ampleur des prouesses sexuelles accomplies par ce monsieur d’un abord si respectable et cérémonieux. Sans compter que bien des aventures avaient dû échapper aux investigations de mon cher mari, parce que le forfait ne s’était pas accompli dans le cadre strict de la maison.
    
    D’ordinaire une telle attitude aurait provoqué ma défiance ou mon dégoût, mais c’est là que je me mis à réaliser que j’étais déjà sous le charme moi aussi, comme tant d’autres femmes avant moi.
    
    Rien ne pouvait me raisonner et la lecture de ce cahier n’avait fait qu’attiser ma curiosité et mon désir à l’égard de cet homme dont j’étais la bru, la belle-fille. L’émoi physique que je ressentais, et cette volonté violente de me retrouver pour la première fois en tête-à-tête avec cet impressionnant personnage qui me vouvoyait, dans un rapport quasi filial, ne pouvait me tromper. Mes intentions n’étaient ni innocentes, ni honnêtes, mais je crus pendant plusieurs mois devoir y renoncer.
    
    Notre rapport continuait en présence d’autres membres de la famille à être celui que l’on doit attendre d’une relation entre un beau-père et sa belle-fille.
    
    * * *
    
    Un jour, où ...
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