Beau-père
Datte: 28/07/2020,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: sensualites, Source: xHamster
Je m’appelle Océane et j’ai vingt-quatre ans. J’ai épousé Sébastien il y a maintenant trois ans et je dois avouer que ce qui m’a charmé le plus chez lui dans un premier temps… c’est sa famille.
Je suis issue d’un milieu plutôt modeste et lorsque j’ai été présentée à ses parents, j’ai tout de suite été troublée par le regard assuré, à la fois chaleureux et intimidant de son père et par l’élégance racée de son épouse. Ils occupaient chacun d’importantes fonctions juridiques, descendant de longue lignée de ce que l’on appelait autrefois la noblesse de robe.
Si sa mère Marie-Françoise devait avoir environ l’âge de la mienne, peut-être quarante-cinq ans, bien que la comparaison soit difficile, il semblait par contre que son père qui s’appelait Hubert, était bien plus âgé que le mien et devait avoir facilement la soixantaine.
Outre son beau visage qui m’avait troublée dès notre première entrevue, malgré ou à cause de ses rides qui dessinaient de plaisants reliefs aux coins de sa bouche et de ses yeux, ou sur son front. J’avais été séduite par ses tempes grisonnantes qui accentuaient l’éclat d’un visage tanné au regard vif et pénétrant.
J’étais également sous le charme de ce bel homme athlétique à la superbe carrure qui devait visiblement entretenir sa forme et ses formes par la pratique régulière d’activités physiques. Le contraste était troublant avec son fils qui m’avait charmé sur d’autres plans, mais qui était plutôt mince et dont la beauté du visage avait des ...
... traits presque féminins.
À vrai dire il avait tous les attributs de ce que l’on appelle un « vieux beau », mais j’avoue que cette appellation qui m’évoque généralement la course effrénée et perdue d’un Don Juan sur le déclin avait, portée par lui, l’agrément délicieux de celui qui a pu attirer et séduire un nombre sans doute impressionnant de femmes… sans savoir combien d’entre elles avaient alors dû succomber…
Dans ce regard qui se posait sur moi avec insistance et audace je ne vis pas, comme habituellement chez les hommes trop sûrs d’eux, la marque du machisme et de la vanité.
Pour la première fois je me sentis conquise par l’attention d’un seul homme, malgré l’évidence pour moi, que j’étais probablement à ses yeux une proie parmi bien d’autres.
En vérité, je ne savais rien alors de son passé de séducteur, mais je m’empressais d’une façon détournée d’interroger Sébastien pour qu’il m’évoque les « expériences sentimentales » de son père.
Il m’avoua alors qu’autrefois celui-ci avait été un véritable coureur de jupons, et que cela avait perduré bien après son mariage. Il se sentait lui-même assez honteux de cette situation, même s’il avait appris plus tard, qu’une des raisons de ce comportement se trouvait dans le fait que sa femme était très peu portée sur le sexe.
Il avait souffert durant toute son enfance de cette situation, étant souvent le témoin malgré lui de façon plus où moins directe des infidélités de son père.
Ainsi, il savait que ce dernier ne ...