1. Danielle, la femme du garagiste (2)


    Datte: 13/04/2018, Catégories: f, h, fplusag, telnet, cérébral, BDSM / Fétichisme Masturbation jeu, Auteur: Cameraman, Source: Revebebe

    ... dégouline.
    — Oh, c’est bon, oui aspire-moi, lèche-moi partout ; oh je frotte ma chatte contre ta bouche, je m’assieds sur ton visage et je me frotte.
    — Oui, viens, je sens ton bassin qui commence un lent va-et-vient d’avant en arrière et je sors ma langue qui passe dans ta fente et je sens ta mouille qui me coule dans la bouche ; oh tu prends ma tête entre tes mains et tu la presse contre ta chatte et tu accélère le rythme…
    — Oooh, tu me rends folle, je me suis mis trois doigts et je tourne sur le clito avec mon pouce, c’est trop bon, oui, je sens que je vais partiiiiir !
    — Viens, maintenant tu n’as qu’à te relever un peu, tu recules légèrement sur tes talons et tu viens t’empaler sur mon sexe qui t’attend.
    — Oui ta queue, je veux ta queue, elle est trop bonne, oh je la sens qui s’enfonce en moi, elle me remplit, oh jusqu’au fond ; oui, elle butte contre ma matrice, je la sens…
    — Oui et bien maintenant, vas-y, pompe-moi bien la queue avec ta chatte, monte et descend sur ma bite.
    
    Je la voyais comme si j’y étais, ses seins lourds aux pointes dardées, sortis du soutien-gorge, ballottant au rythme des mouvements de son bassin qui faisait entrer et sortir ma queue de sa chatte dégoulinante de mouille ...
    ... ; ses cuisses ouvertes parées de ses fins bas gris dont une des jarretelles s’était défaite dans l’action. Elle était bien calée sur les talons hauts de ses mules et, s’appuyant des deux mains sur mon torse, elle fermait les yeux en propulsant mon sexe au fond de son vagin à chacun de ses allers et retours de plus en plus rapides.
    
    Je me branlais de plus en plus vite et je l’entendais qui faisait de même :
    
    — Oh oui, c’est bon, je la sens bien, là, elle est grosse ; oh je me caresse fort, tu sais, oh, j’en ai tellement envie, oh, oh, là c’est bon, ouiii ; je me doigte bien, je voudrais que tu me lèches en même temps que tu me baises, oh je ne sais plus ce que je dis…
    
    Nous étions tous les deux partis dans un délire érotique au téléphone et quand je ne l’entendis plus parler mais simplement haleter et gémir, je sus que son plaisir était proche et je me laissai aller en un long jet de sperme… dans un mouchoir en papier.
    
    Et oui, si le plaisir au téléphone pallie une rencontre impossible, il ne la remplace pas vraiment et on se retrouve seul avec son plaisir.
    
    Elle jouit longuement, puis elle m’embrassa et nous nous souhaitâmes une bonne nuit, en nous promettant de nous revoir le plus vite possible. 
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