Danielle, la femme du garagiste (2)
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
telnet,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
jeu,
Auteur: Cameraman, Source: Revebebe
Je ne pus revoir Danielle le lendemain soir, une répétition imprévue de l’émission pour laquelle j’étais venu dans cette ville des bords de Loire m’en empêcha ; cependant, elle m’avait confié son numéro de téléphone et vers 23 heures 30, rentré à ma chambre d’hôtel, je l’appelai.
Je commençai par les civilités d’usage, lui demandant même des nouvelles de son garagiste de mari, coincé toute la nuit au garage pour surveiller les voleurs…
Elle était très contente de m’entendre et peu à peu la conversation glissa vers l’évocation de nos tendres moments de la veille.
Elle m’avoua qu’elle n’avait pas joui comme cela depuis longtemps et me dit tout de go qu’elle était prête à recommencer ; mais que ce soir, il était un peu tard et, étant un peu fatiguée, elle n’avait pas le courage de ressortir sa voiture.
Je lui proposai de venir en taxi, mais elle m’assura qu’à cette heure je n’en trouverais pas et encore moins pour revenir.
Un peu déçu, je commençai à la taquiner et je lui demandai comment elle était vêtue :
— Oh, je porte ce que tu aimes bien ; je savais que tu allais appeler et j’ai gardé mes bas et mon porte-jarretelles ; ils sont gris fumés et le porte-jarretelles est noir en dentelle.
— Tu ne portes rien d’autre ?
— Si, bien sûr ; j’ai encore mon soutien-gorge mais je n’ai plus ma petite culotte.
— Comment était-elle ?
— Tu es un petit coquin trop curieux, toi ; tu veux tout savoir.
— Oui et je veux même savoir où tu es et comment tu es ...
... installée.
— Je ne t’ai pas tout dit : je porte aussi un déshabillé en voile noir tout transparent ; je pensais que ça te plairait ; j’ai aussi de petites mules noires à talons hauts avec un petit plumet sur le dessus.
— Tu dois être très désirable comme ça ; tu me donnes envie…
— Mais c’est fait pour ça.
— J’aimerais tant être là, à tes genoux ; imagine ce que je pourrais te faire …
— Oh mais j’imagine très bien, d’ailleurs mes cuisses s’ouvrent déjà pour t’accueillir.
Elle commençait à sérieusement m’exciter et je sentais mon sexe devenir de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
— Tu sais que tu me mets dans tous mes états, je n’en peux plus, je bande comme un taureau.
— Sors ta queue.
C’était dit comme ça, à brûle-pourpoint, par une dame que je ne connaissais que depuis 24 heures, avec qui j’avais eu des relations intimes, bien sûr, mais qui se révélait plus coquine que je ne pensais.
J’obéis et je commençai à me branler doucement.
— Qu’es tu en train de faire là ?
— Et bien là, tu vois, je suis assise dans un fauteuil, j’ai les cuisses posées sur les accoudoirs, et je fais des petits ronds avec mon doigt sur mon clitoris…
J’imaginais très bien la scène et je me voyais à genoux devant cette femme offerte, prêt à lui donner des caresses avec ma langue.
— Sais-tu ce que je voudrais que tu fasses ?
Un silence… elle savait sans doute très bien ce que j’attendais d’elle, mais me faire languir un peu faisait partie de son jeu.
— Te sucer la queue ? En ...