Danielle, la femme du garagiste (2) - Histoires de Sexe

Danielle, la femme du garagiste (2)

... général, les hommes adorent ça, se faire sucer la queue, non ? Tu n’aimes pas, toi ?

Je me voyais déjà debout devant elle, avec mon sexe dressé, tendu vers sa bouche et ses lèvres rouge sang qui se refermaient dessus… En y pensant, je me branlai de plus belle.

— Non, tu vas trop vite, tu vas me faire gicler et puis ça sera fini, c’est trop rapide ; non, ce que j’imagine, c’est que je suis allongé par terre, le sexe bien raide, et que je me caresse doucement. Toi, tu es debout juste au-dessus de moi, bien calée sur tes petites mules à talons et tu te caresses les tétons et la chatte. Tu vois ?
— Oh oui, je vois très bien, tellement bien que ça me donne envie de me mettre un doigt, là voilà, il entre tout seul, tu sais, ça glisse comme dans du beurre…
— Bien, très bien, alors tu te caresses un moment comme ça et moi je te vois par en dessous, je vois tes jambes fuselées gainées de tes bas gris, je vois ta petite chatte toute luisante de mouille avec tes doigts qui entrent et sortent, et puis au-dessus, là-haut je vois tes tétons dardés que tu agaces avec tes doigts… et cette vision-là m’excite tellement.
— Oui et qu’est ce que ça te donne envie de faire ?
— Et bien c’est très simple : tu ne bouges pas tes jolies petites mules à talons qui me font bander, et tout doucement tu descends sur tes jambes et tu viens t’accroupir juste au-dessus de ma bouche ; moi je vois ta chatte qui s’approche lentement de mes lèvres jusqu’à se poser dessus… et je te donne un tendre ...

... baiser du bout de mes lèvres sur tes lèvres intimes… et puis je sors ma langue et je la glisse dans ta fente déjà toute mouillée de tes caresses. Tu sens ce petit sexe agile qui s’immisce dans ton intimité et tout ton être se tend vers ma bouche qui te lape avidement.

Je l’entendais au bout du fil qui commençait à pousser de petits gémissements, signe que mon récit touchait juste ou peut-être plus simplement, que ses caresses se faisaient de plus en plus précises ?

— Oh oui, j’adore ça, continue, mon chéri, bouffe bien ma chatte de petite salope.
— Je lèche doucement tes grandes lèvres et mes doigts les écartent pour faire sortir ton petit bouton d’amour.
— Ouiii ; il est tout dur, tout gonflé, je le sens sous mes doigts… oh si tu pouvais me voir, je suis complètement indécente, je me doigte comme jamais…

Je l’imaginais très bien, les cuisses écartées posées sur les accoudoirs, les jarretelles tendues à l’extrême sur ses bas gris avec ses petites mules délicates pendues au bout de ses pieds, sa chatte luisante de mouille qui dégoulinait sur le fauteuil, offerte.

Bien sûr que j’aurais préféré être avec elle ; mais pour le moment, elle me faisait bander et je me branlais en attendant mieux.

— Là, voilà, je l’ai trouvé, je le sens au bout de ma langue ton petit clito tout gonflé ; je pose mes lèvres autour et je le tète, comme je tèterais la pointe de tes seins ; je l’aspire et en même temps je te glisse un doigt dans la chatte, oh, c’est trempé là dedans, et ça ...