La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1045)
Datte: 26/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... ». Des bas, porte-jarretelles, mais pas de culotte, ni de soutien-gorge, comme à mon habitude. Je ne portais plus de soutien-gorge depuis longtemps, ma poitrine pour menue qu’elle ait été, n’en était pas moins ferme, et parfaitement galbée, mes seins pointus avec des aréoles larges, couronnées de petits tétons très réactifs et très mignons. J’avais pris un imperméable, je fis bien. Sortie du café, la froidure de la pluie fit que mes bouts de seins durcirent tendant mon chemisier un peu plus.
- Bonjour Madame, me dit l’hôtesse d’accueil. Que puis-je pour vous ?
- Bonjour Mademoiselle, je viens pour l’annonce de secrétaire de Direction et je dois voir Monsieur le Directeur des Ressources Humaines.
- En effet, vous êtes… (regardant l’agenda) Madame La Comtesse De Cantigny ?
- (en pensée) Hein ! co… comment…savent-ils mon nom ? (Prise complètement de court) - Oui, c’est… euh… oui c’est cela même, en effet.
- Veuillez me suivre Madame La Comtesse, attendez ici, désirez-vous un café, un thé ? autre chose
- Non Merci. Je viens d’en prendre un.
L’hôtesse revint à sa place, fit un numéro et je l’entendis dire :
- La candidate annoncée est présente, Monsieur.
A l’énoncé de mon nom, j’avoue avoir reçu un coup à l’estomac. Comment cette Société connaissait-elle mon nom. Je n’ai jamais postulé en quoique ce soit ni ici, ni ailleurs. Complètement désorganisée, j’entendis dire soudainement :
- Madame La Comtesse ?
- Oui c’est moi !, répondis-je en me ...
... redressant subitement et tentant de faire bonne impression
- Bonjour Madame La Comtesse.
Un homme me toisait, grand, très bien habillé, très chic, très bel homme, la cinquantaine peut-être. Froid, hautain même, sévère en tous cas. Son costume reflétait sa classe qui immanquablement ne passait pas inaperçue. Très à l’aise, très sûr de lui, bien qu’ayant un sourire de circonstance, il inspirait une relative confiance.
- Bonjour Monsieur le Directeur.
- Veuillez me suivre dans mon bureau, reprit-il oubliant son sourire soudainement.
Me voilà suivant le DRH, tandis qu’il s’adressait rapidement à des agents en traversant couloirs et bureaux.
- Ne vous ai-je pas déjà vu quelque part Madame, votre visage ne m’est pas inconnu ?
- Je ne crois pas Monsieur.
- (Il me dévisageait pourtant et finit par lâcher) Vous devez avoir un sosie alors, j’aurai juré vous avoir vu, il y a trois semaines, j’étais en Allemagne, pour affaires avec nos fournisseurs allemands.
- (Me ressaisissant) Je puis vous assurer Monsieur que je n’étais pas en Allemagne il y a trois semaines. (menteuse que j’étais). Vous devez confondre en effet !
Mon rendez-vous commençait mal selon moi. Cet intermède me déstabilisait. Nous arrivâmes dans son bureau et il m’offrit de m’asseoir dans un très beau fauteuil, ce que je fis immédiatement. Par instinct, j’envahis le siège, très confortable au demeurant, lorsque soudain dans ma tête me revint : « assied-toi sur le rebord du fauteuil, jamais avachie ...