1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1045)


    Datte: 26/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) -
    
    J’avais ma destinée en mains … La lettre posée sur mes cuisses, assise dans mon lit, je la lus et relus et je me sentis subitement envahie d’une froidure. Je tremblais, de froid ? de peur ? Je sentais que tout allait se jouer pendant ces deux jours, que ma vie allait basculer dans un sens ou l’autre… Le 5 du mois ! Nous étions début janvier, cela me laissait que deux jours de réflexion... Et puis ce rendez-vous dans une société, avenue Daumesnil... Je repassais tout ça en tête, en boucle, les évènements vécus comme ceux, selon ma décision, à venir… J’étais épuisée, j’avais sommeil, je me laissais tomber dans le lit, remontant la couette comme tentant de trouver une protection. Je m’endormis lourdement mais mon sommeil fut peuplé de chaînes, de collier-laisse, de coups de cravache, de godes qui me pénétraient, de rêves dits érotiques, moi je les aurais appelé : rêves d’esclavage. Résultat, je me surpris à mon réveil de me trouver trempée au niveau de mon sexe… quand vers les onze heures du matin, ce fut la sonnerie du téléphone qui me réveilla. « Non, laissez-moi dormir », me dis-je, collant les deux pans de mon oreiller sur mes oreilles et m’enfonçant plus encore sous la couette. La sonnerie s’arrêta puis reprit de plus belle laissant le temps à mon répondeur d’enregistrer un éventuel message.
    
    « Bonjour, c’est moi, j’espère que tu vas bien, j’ai très envie de toi, ...
    ... tu sais la dernière fois c’était super, j’en redemande. Bises »
    
    Pouah ! C’était mon dernier coup de cul. Beau gosse ! Pas mauvais au lit, même ! Mais si fade à côté de … à côté de ce que j’avais vraiment envie … Je ne voulais pas me l’avouer mais subitement le beau gosse me paraissait plus fade, tellement plus fade, que ce que je venais de vivre. Alors, je me le dis cet aveu, en criant de toute la force de mes poumons. Assise dans mon lit, complètement désarçonnée par mon aveu, je me mis à pleurer amèrement sur mon sort… Pleurer … Mais quel sentiment étrange et paradoxal me traversait au même moment. En effet, en plus des larmes, je me sentais excitée… Des larmes de peurs, d’appréhension, du triste constat de ce que je devenais et un sentiment tout autre d’excitation de devenir, d’envie de n’être plus qu’une chienne soumise, une esclave…
    
    Alors, une multitude de questions me tiraillaient l’esprit : Qui suis-je ? Que dois-je vraiment faire ? Quel avenir m’attend ? Je ne sais pas, je ne sais plus… Me ressaisissant un peu, je me replonge dans la lettre. Ah oui, cette adresse ! Mais pourquoi cette « mission » et puis, je suis surveillée maintenant ? D’un bond, je file à la fenêtre tentant de regarder en bas de la rue. Une voiture doit se trouver en bas de chez moi mais laquelle ? Cette vieille DS usagée, non pas le genre. Cette Porsche, peut-être ou celle-ci ou celle-là… Oh et puis flûte, j’en ai marre. ! J’ai deux jours devant moi, je vais expédier ce rendez-vous foireux en ...
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