Le mariage
Datte: 26/07/2020,
Catégories:
hh,
inconnu,
campagne,
intermast,
facial,
Oral
préservati,
hdanus,
hsodo,
confession,
Gay
Auteur: Franck 6, Source: Revebebe
... le doigter, en le regardant droit dans les yeux. Il a la bouche ouverte, les yeux mi-clos.
— Descends et tourne-toi.
Il obtempère, et je remets mon doigt en place dans son trou, puis un deuxième. Il se met entièrement nu et je l’imite rapidement. Je ne tiens plus et colle ma langue dans sa raie et je lèche sans retenue ce cul imberbe, rebondi, magnifique. Je malaxe ses couilles pendant la feuille de rose. Il gémit, se tortille et bientôt supplie :
— Prends une capote dans mon fute et baise-moi.
— Tu la veux ?
— Oui, je veux que tu me mettes ta grosse queue, vite.
Je prends un préservatif, je l’enfile et présente mon gland. Mais je fais durer le plaisir, je ne pousse pas, reste à l’entrée. Il essaye de reculer, de s’empaler sur ma queue tendue, mais je remonte mon sexe qui frotte sa raie.
— Mets-la, mets-la moi, j’t’en prie.
Il est à ma merci.
— Tu veux que je t’encule, salope ? Tu veux que je te baise ?
— Oui, depuis que je l’ai sucée tout à l’heure, je la veux dans le cul, je veux que tu me prennes.
— Je vais te baiser, mais tu vas attendre.
— Non, je peux pas, je la veux.
Je passe devant lui et lui présente ma queue qu’il gobe sans retenue.
— Écarte ton cul.
Il suce tout en écartant ses fesses. Je lui baise la bouche, enfonçant à nouveau deux doigts dans son cul.
— Baise-moi, prends-moi, s’il te plaît.
Je passe derrière lui et m’enfonce doucement mais sans m’arrêter dans ses entrailles. Il gémit et doucement je commence les ...
... allers-retours qui se font de plus en plus amples.
— Tu sens comme je te remplis le cul ?
— Oui, encore, plus fort, plus fort.
— Tu veux que je te défonce ?
— Oui défonce-moi.
J’accélère alors franchement le rythme et je fais claquer mes couilles sur ses fesses, son bassin avance à chaque coup de rein et ses cris étouffés redoublent :
— C’est comme ça que tu aimes qu’on te baise, bien fort ?
Il ne répond pas mais ses gémissements sont maintenant plus prononcés, et je pense qu’on nous entend de loin maintenant. Je continue à un rythme élevé et lui prends le sexe que je branle. Rapidement, il inonde mes doigts de foutre épais, la jouissance le terrasse et il tombe à plat ventre à côté de la souche. Je suis sur lui, et je continue à le pilonner, il tourne la tête et ses yeux sont plein de bonheur et son sourire montre le pied qu’il vient de prendre. Ce regard me chamboule et je sens le jus venir, je ralentis un peu :
— Non continue, vas-y fort et jouis en moi !
Je reprends donc de plus belles et quelques secondes suffisent pour que je remplisse la capote. Je m’effondre sur lui, je me retire et nous nous embrassons fougueusement à même le sol. Il est sur moi, j’écarte les jambes et sens son sexe mou passer sur mon anus. Je le prends et passe son gland sur mon trou, doucement, le regardant dans les yeux. Je le veux en moi. Mais la fatigue est trop grande et nous n’arrivons plus à bander. Au bout de longues minutes, nous nous relevons, nous rhabillons, fumons un dernier ...