1. Le mariage


    Datte: 26/07/2020, Catégories: hh, inconnu, campagne, intermast, facial, Oral préservati, hdanus, hsodo, confession, Gay Auteur: Franck 6, Source: Revebebe

    Comme chaque année, l’été est propice aux mariages et 2015 ne fait pas exception. C’est donc après les vacances et en famille que je pars célébrer l’union de deux amis. Elle, elle n’est pas très jolie, assez austère, bref je ne la porte pas dans mon cœur. C’est le marié qui est un bon copain, surtout. C’est lui que je suçais quand nous étions au collège. Lui qui fut le premier à me donner sa bouche et à me faire découvrir les plaisirs de la fellation. Lui enfin, dont j’ai abondamment bu le foutre et à qui je pensais quand je me branlais, avec un, deux voire trois doigts dans mon fondement.
    
    J’ai aujourd’hui 35 ans, je suis marié, j’ai des enfants mais j’avoue que j’ai toujours la nostalgie de ces moments où nous étions obligés d’être discrets, pendant lesquels j’ai connu mes jouissances les plus intenses et surtout pendant lesquels j’ai vraiment perdu l’esprit. C’est en suçant un homme qu’on se laisse aller, car on doit faire tomber les inhibitions, oublier les codes de la société quand on est hétéro, pour se laisser aller au plaisir de prendre en bouche un sexe d’homme.
    
    Quand nous étions nus l’un à côté de l’autre, nos sexes tendus, quand je me jetais sur sa queue, d’un coup plus rien autour n’existait que son souffle, le goût de son vit dur dans ma bouche, les soubresauts de sa queue contre mon palais. Je l’ai supplié plusieurs fois de m’enculer mais jamais il n’a voulu. Je me contentais donc de sa semence et des quatre ou cinq petites fois où il a daigné me pomper, ...
    ... sans jamais aller plus loin. J’étais un peu sa chienne dans ses moments-là, mais lui ne voulait pas se l’admettre, il était hétéro ! Il aurait pu me baiser comme il le voulait, partout, dans toutes les positions, je n’étais que salope quand nous nous branlions ensemble.
    
    Bref, aujourd’hui il se marie. Depuis dix ans, toutes les fêtes dans lesquelles nous sommes sans nos femmes, il évite soigneusement de dormir avec moi, sachant que je lui prodiguerais sûrement des plaisirs qu’il s’interdit.
    
    La journée se passe à merveille, sous un beau soleil, et tous mes amis proches sont présents. L’ambiance est bonne, malgré la mariée qui est trop à cheval sur les horaires, ce qui lui vaudra plus tard, quelques petites moqueries pendant les animations. Pour trouver notre table, pendant le vin d’honneur, on a des cartes et on doit retrouver une personne qui nous donnera le nom de la table à laquelle nous devons nous asseoir. Ce jeu est sympa, permet de rencontrer les gens autour de nous avec qui nous n’aurions jamais parlé sinon. Mon « binôme » est un ami du marié, venant de la même école, je l’avais aperçu à l’enterrement de vie de garçon mais sans trop lui parler. Il s’appelle Nico, est grand, blond, assez sympa, bien bâti, mignon en somme. Pendant que nous discutons, le marié vient nous voir :
    
    — Je vois que vous vous êtes trouvés, c’est cool, et il s’en va.
    — Sylvain (le marié) m’a beaucoup parlé de toi, me dit Nico.
    — En bien, j’espère, lui répondis-je.
    
    Il se penche vers moi ...
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