1. Le mariage


    Datte: 26/07/2020, Catégories: hh, inconnu, campagne, intermast, facial, Oral préservati, hdanus, hsodo, confession, Gay Auteur: Franck 6, Source: Revebebe

    ... fait un petit plaisir.
    
    Nous retournons à la salle. Nico dragouille une fille, les gens vont petit à petit se coucher. Le jour ne va plus tarder, je suis crevé. Nico vient me voir et m’annonce qu’il va aller se coucher dans son gîte. Je lui dis que je l’accompagne. Je salue les derniers fêtards qui ne savent plus trop où ils habitent. Mon gîte est à quinze minutes de marche, celui de Nico est sur la route et nous profitons du trajet pour faire un peu plus connaissance car comme il l’a si bien dit : « À part ta queue et ta bouche, je connais pas grand-chose de toi ». Arrivé devant son gîte, il me dit :
    
    — Je t’aurais bien invité boire un dernier verre mais je ne suis pas seul.
    — Pas grave, mais j’aurais accepté.
    
    Un silence se crée, j’ai envie de sa bouche, de son sexe, bref je le veux. Autour de nous, tout est calme, nous sommes au bord d’une petite route bordant des champs et la campagne.
    
    — Si on va par-là, me dit-il, on trouvera peut-être un coin calme pour pisser, tu crois pas ?
    — Sûrement, je te suis.
    
    Nous trouvons un petit chemin et nous passons entre deux champs, dans ce qui semble être un chemin de rando. Bref, quelques centaines de mètres et nous sommes cachés. Sans attendre il se plaque contre moi, m’embrasse et sa main se plaque directement sur mon paquet
    
    — Hors de question que je n’y regoûte pas, me chuchote-t-il à l’oreille.
    
    Et sans attendre, il se met à genoux et ouvre mon pantalon, faisant sortir mon sexe qu’il enfourne fougueusement. Il me ...
    ... suce avec passion.
    
    — Elle est bonne, j’adore ta bite.
    — Ça se voit, tu aimes la pomper hein ?
    — Oui.
    
    Et il reprend de plus belle comme une belle salope qu’il est maintenant.
    
    Je nage dans le bonheur, le seul bruit que l’on entend est celui de sa bouche sur ma bite, le plaisir monte mais je ne veux pas encore jouir. Je lui dis mais il me répond :
    
    — Laisse-toi aller, on a le temps.
    
    Je suis son conseil et pour la deuxième fois de la soirée, il boit mon foutre en me regardant droit dans les yeux. Il se relève, enlève son pantalon, son caleçon et ses chaussettes, grimpe sur une souche :
    
    — Viens me pomper le dard, j’en peux plus, ton foutre m’a rendu fou.
    
    Je m’approche, enlève le bas également et me jette sur sa queue que je pompe avec entrain. Je suis une chienne en chaleur qui a besoin de son jus. Tout en le suçant, je caresse ses couilles avec ma main et il écarte légèrement les jambes. J’en profite pour aller explorer un peu plus loin et petit à petit, je caresse ses fesses, l’endroit sensible entre ses couilles et son anus puis je passe ma main dans sa raie. Sa queue sursaute lors de ce passage, que je réitère de suite, laissant traîner mon index sur son petit œillet. Je le suce toujours mais mon esprit est entièrement tourné vers mon doigt qui tourne autour de cet orifice qui se détend petit à petit laissant bientôt entrer ma première phalange, puis tout le doigt. Je commence un va-et-vient doux dans son antre et bientôt je laisse sa bite pour seulement ...
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