1. Avilissement


    Datte: 25/07/2020, Catégories: fff, magasin, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation uro, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sur un pouf et m’ordonna de m’y asseoir en tailleur face à mon public. Elle se plaça derrière moi pour me prendre aux épaules et m’incliner sur le dos jusqu’à ce que ma tête touche la moquette. En partant à la renverse, mes jambes s’étaient dénouées et allongées pour garder l’équilibre. Elle enjamba mes épaules en se penchant pour me replier les genoux et poser mes talons contre mes fesses. Pendant qu’elle me disposait à sa convenance, je pouvais voir jouer les lèvres de son sexe nu dans l’ombre légère de sa robe. Mes cuisses s’ouvrirent d’elles-mêmes.
    
    Reprenant son ton impérieux, ma Maîtresse guida mes mains vers mon pubis sans se priver de commentaires dédaigneux :
    
    — Regardez-moi cette broussaille toute poisseuse… C’est indécent !
    
    Elle resta courbée sur mon ventre, sans se soucier de la vue plongeante sur son décolleté et du reflet de son entrejambe qu’elle offrait aux spectatrices, pour attraper une nouvelle fois mes boucles pubiennes. Je retins mon souffle dans l’angoisse de la suite de son geste. Elle le suspendit durant quelques secondes et je crus qu’elle se contentait de les désigner à la moquerie générale. Je me détendis ; ce n’était après tout qu’une humiliation de plus. Ma seule hâte du moment était de jouir.
    
    La douleur me prit au dépourvu. Une douleur brutale, cuisante, aigüe, comme si mon sexe était coupé par une lame. Je hurlai et tentai par réflexe de fermer mes cuisses, mais Madame Ève bloquait mes genoux avec ses coudes tandis que ses mains, ...
    ... crochées dans les poils de mes lèvres, écartelaient sauvagement ma fente. Elle tirait comme si elle allait m’arracher la peau avec la toison. Mon besoin de jouir disparut sur le champ ; je ne ressentais plus que la souffrance et la peur de ce qui pouvait arriver.
    
    Je ne sais combien cela dura mais ce me parut une éternité. Je retenais ma respiration pour ne pas susciter plus de rires par mes cris. Le premier avait déjà provoqué l’hilarité des clientes comme de la gérante et rameuté les commises. Il me semblait que les commissures de ma vulve se déchiraient déjà sous les tractions qui les distendaient et mes efforts pour contenir ma vessie. J’avais si mal que je doutais de pouvoir me contrôler. J’étais terrorisée par cette idée autant que par la torture que j’endurais.
    
    Puis ma Maîtresse relâcha son emprise et le soulagement fut aussi immédiat que la douleur avait été soudaine. Une chaleur accrue envahit ma chatte et irradia tout mon ventre, redoublant instantanément l’envie de me masturber. Les longues jambes qui m’encadraient s’éloignèrent, me laissant pantelante et définitivement seule sur le pouf pour satisfaire les attentes de l’assistance et la nécessité qui me tenaillait.
    
    Mes mains hésitantes tâtèrent prudemment les chairs martyrisées. Le sang battait sous la peau des lèvres gonflées ; le moindre attouchement était fulgurance. J’esquissai quelques effleurements… et je ne fus plus qu’un sexe. Un sexe hypersensibilisé qu’il me fallait contenter après l’avoir trop ...
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