De "Patronne" à "Maîtresse"...
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byParisBangkok, Source: Literotica
... de tout son corps. Son visage prit une expression démente, celle que j'aime tant chez les femmes qui jouissent bien : bouche ouverte, yeux exorbités, la tête qui roule sous les vagues de plaisir. En même temps sa chatte se serra sur ma bite comme celle d'une gamine. Elle me pressai à grand spasmes qui déclenchèrent aussi ma jouissance. Mon foutre trop longtemps contenu jaillit de mes couilles à grands jets et vint remplir sa chate. Toujours bandé, je continuais à la baiser comme un fou pendant que le sperme débordait et coulait entre ses fesses, sur ma main qui lui branlait toujours le cul.
Comme sa jouissance se calmait, je retirai mes doigts de son cul et me laissais aller sur son corps confortable. Ma bite dégonflait doucement dans sa chatte encore animée de spasmes et je reposais sur sa chair accueillante, son ventre bien moelleux, ses gros seins bien gonflés de plaisir. Elle chercha ma bouche et m'embrassa sensuellement, sa langue courant dans ma bouche, ses mains courant langoureusement sur mes épaules, allant jusqu'à pétrir gentiment mes fesses. Comme nous nous calmions, elle s'étira puis, d'un air innocent que démentait le plissement au coin des yeux, elle me dit « Je ne suis pas très propre en bas... » « Hm, on doit pouvoir arranger ça. » Descendant la main je passais dans la raie de son cul, sur son anus encore un peu ouvert, sur la vulve et le clito, mes doigts et ma paume pleins d'un mélange de cyprine et de foutre... Elle poussa des petits cris quand je ...
... passais sur ses zones érogènes encore toutes gorgées de sang et se tortilla contre moi. Je remontais ma main et elle la lécha, me regardant en même temps, souriant entre deux lampées. Visiblement elle aimait le goût mélangé de nos fluides dilués dans la sueur. D'un air franchement vicieux, elle me dit alors « Je crois que j'ai besoin d'une toilette plus soignée... ». Je descendis et commençais la dite toilette! ma langue passa dans les plis de ses grandes lèvres encore dilatées, sur l'entrée ouverte de son vagin, jusqu'à son anus . Je goûtais moi aussi avec plaisir le jus produit par nos ébats, la faisant frissonner et gémir lorsque je léchais les points les plus sensibles. J'avoue que je restai longtemps sur le trou de son cul, l'agaçant un peu, dardant ma langue, provoquant des réactions intéressantes : elle poussait son cul vers ma bouche quand je la léchais! Hmm elle était certainement anale!
Devoir accompli, je me levais et tendis ma bite vers son visage Elle était encore grosse, et pas encore débandée. Elle comprit le message et entrepris de la sucer pour la nettoyer. Elle commença par gober ma queue la pris entière dans sa bouche et remonta lentement vers le gland dans un bruit de succion, me regardant pour ne pas perdre une goutte ni de foutre ni de mon expression. Elle avala tout ce qu'elle avait ainsi ramassé et je ne pus m'empêcher de sourire devant son air gourmand. Encore une fois, il y avait une telle différence entre l'avocate bourgeoise d'âge mur et cette femme ...