De "Patronne" à "Maîtresse"...
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byParisBangkok, Source: Literotica
Je venais d'être engagé comme stagiaire dans ce cabinet d'avocats. Ma « maîtresse de stage » (eh oui, c'est le titre officiel!), Simone Langelier, avait la cinquantaine. Une grande femme bien en chair, plutôt autoritaire qui était donc chargée de me montrer les ficelles du métier, dans m'initier à la pratique, bien différente évidemment de ce qu'on apprend à la Fac'. J'avais un bureau juste à côté du sien, avec les deux secrétaires et n'ayant guère de clients personnels à ce stade, je travaillais sur ses dossiers. Ma « patronne » (terme usuel également), avait un rapport visiblement compétitif avec son mari, également associé, et voulait décidément être la meilleure. Elle était du coup très exigeante et dès que je lui remettais une note, elle était relue attentivement et me revenait généralement avec plein de commentaires, des questions sur des points demeurés obscurs. Frustrant, dans un sens, mais j'étais là pour apprendre aussi.
Juillet cette année là était torride. La canicule était féroce, le chien répandait sur la France une haleine brûlante et le bureau était une vraie étuve. Un dossier urgent nous avait forcé, Simone Langelier et moi, à revenir travailler le 14 juillet et je m'étais autorisé à venir en T-shirt. Ce n'était pas très formel mais bon, il n'y avait ni personnel ni clients et je n'étais pas fâché de rompre le formalisme un peu guindé qui présidait aux relations entre ma patronne et moi. Celle-ci arriva juste après moi, elle portait une robe bleue, ...
... plutôt courte et décolletée qui révélait ses cuisses charnues et l'échancrure entre ses seins. C'était la première fois que je voyais sa poitrine et je remarquais le galbe imposant de ses globes. La robe moulait son ventre un peu rond et, surtout, une belle paire de fesses que les tailleurs pantalons amples masquaient généralement. Au lieu d'une coiffure élaborée, elle avait juste noué ses cheveux mi-longs en queue de cheval et, ma foi, ce look informel lui allait plutôt bien.
Nous devions trier et lister un nombre important de documents relatifs à une faillite, plusieurs cartons de papiers d'affaires, factures, lettres (on écrivait encore des lettre à l'époque...), comptes, tout un fatras qui nous permettrait espérions-nous de démontrer que le client était plus victime qu'escroc lui-même... Nous étions côte à côte, nous penchant sur les mêmes documents et j'avais une vue plongeante sur ses seins qui se pressaient l'un contre l'autre quand elle tendait le bras pour prendre un document un peu éloigné. Appétissant et je ne me privais pas de maquer, tout en restant discret évidemment. Simone s'essuyait fréquemment le front, m'offrant une vue intéressante sur ses aisselles rasées. Il arrivait que nos bras se frôlent ; au début je m'excusais mais lorsque je remarquais que c'était souvent Simone qui avait la « maladresse » de me toucher, je laissais aller avec curiosité. Elle passa derrière moi et je sentis comme un frottement léger sur mes fesses moulées dans un pantalon de toile ...