De "Patronne" à "Maîtresse"...
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byParisBangkok, Source: Literotica
... d'épilation quasi généralisée, cette abondance velue avait quelque chose de vulgaire qui donnait encore plus envie de la baiser sans ménagement : puisqu'elle ne prenait visiblement pas grand soin de son con (peut-être plus baisé depuis bien longtemps), pas besoin d'être délicat, tout ce que méritait cet endroit broussailleux et marécageux, c'était d'être défoncé violemment. Ma queue, qui est de bonne taille, était même maintenant verticale, plaquée contre mon pack de muscles bien dessinés. Elle la regarda en gémissant. « Tu as envie de ma queue?» « Oh là là, elle a l'air si grosse, si dure, tu vas me faire mal! » « Mais non, ta chatte est prête et puis tu aimes bien quand c'est un peu rude, non? » Elle rougit. « Baise moi s'il te plait, j'ai envie de jouir. » Ça, je n'en doutais pas mais c'était incroyable de l'entendre parler comme ça, me demandant de l'enfiler, comme on demande une faveur!
Avec un grognement, je fourrais mon gland dans sa fente inondée. Elle n'était évidemment pas très étroite mais encore confortable et de toute façon la fessée que je lui avais donnée m'avait fait grossir la bite au max et je me frottais donc parfaitement dans son vagin. Han! han! je commençais à la bourrer à grand coups. Ni elle ni moi n'avions envie ni besoin d'y aller progressivement : je la savais prête à jouir et mes couilles criaient au secours depuis un bon moment déjà. Nous ruisselions de sueur, je gouttais sur elle, des ruisseaux courraient sur ses seins, dans les plis de son ...
... ventre et, à chaque fois que je poussais brutalement et m'écrasais contre son sexe et ses cuisseaux, des gouttes salées bondissaient de mon corps. Elle participait activement, cherchant à s'accorder à mon rythme, poussant en même temps que moi pour que l'empalement soit le plus violent possible. Elle cria un truc incroyable, révélateur de fantasmes inouïs « Viole-moi! » Mon corps claquait contre le sien, mes couilles frappaient son périnée à chaque fois que ma bite violait, en effet, ce con maintenant agité de spasmes.
Elle montait, je sentais que sa jouissance se construisait car maintenant son vagin serrait plus étroitement ma queue, la pressant magiquement. Mon gland devenu énorme défonçait le fond de son canal amoureux, battait contre son cervix, se frottait comme jamais, la fente prête à cracher. Je lui avais empoigné les cuisses à pleine mains pour les basculer, me donner le maximum d'accès à son con. J'en posais une sur mon épaule et, descendant ma main entre ses grosses fesses bien écartées, je la glissais dans la raie de son cul, transformée en ruisseau tant sa chatte coulait. J'appuyais deux doigts sur son anus et les rentrais d'un seul coup, sans préparation. Ils glissèrent aisément dans son rectum et je pressais bers le haut. Au travers de ses muqueuses, je sentais les mouvements de va et vient de ma bite et elle aussi sentit la double caresses vaginale et rectale. Ce fut trop! Elle poussa un cri, s'agrippa à mes épaules et commença à jouir à grandes contractions ...