Accueil de déshérités 2
Datte: 23/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... pas, ou si nous pouvons profiter de ce temps de liberté pour approfondir une autre relation, sans sentiment de culpabilité.
- Avoue, tu veux me quitter ! Tu connais une autre fille.
- Non. Si tu le souhaites, mais uniquement si tu le veux vraiment, je te reviendrai. pPendant notre séparation tu jouiras d’une absolue liberté, tu rencontreras qui tu voudras, comme tu voudras, tu auras des aventures, si tu souhaites établir des comparaisons, si tu veux être sûre de tes décisions. Quand nous nous retrouverons à la date fixée, à la lumière de ton expérience, si tu as su profiter de ce temps, tu choisiras de vivre avec moi ou avec un autre ou seule.
- Je te vois venir. Tu vas te distraire avec d’autres filles et tu reviendras comme un innocent ! C’est inadmissible si tu m’aimes. Trouve autre chose.
- Hélas ! Aussi longtemps que tu n’auras pas chassé de mon esprit ce baiser avec Robert, je ne pourrai plus te faire l’amour. J’ai besoin de certitude pour te prendre dans mes bras. Mais quand tu auras de ton côté la certitude de m’aimer, tu devras encore me prouver ta confiance en moi: tu m’embaucheras dans ton organisation humanitaire.
- Je savais bien que tu apprécierais notre travail. Merci. Eh bien, d’accord faisons une pause. Où dois-je aller ?
- Tu restes ici. Demain je me trouverai une chambre.
- Ça me fend le cœur, mais puisqu’il le faut, j’accepte. Cela durera combien de temps ?
- Mettons un mois.
- Ce sera trop long. Ne pas te voir pendant un mois ...
... sera insupportable.
- Ne préjuge pas du résultat. Dans un mois tu seras peut-être heureuse de t’être débarrassée de moi.
- Oh ! Ce que tu peux être vilain. Je t’aime. Il est tard, viens au lit maintenant. Fais-moi l’amour avant de t’envoler.
- Tu dois avoir compris; je ne me sens plus l’envie ni le droit de faire comme s’il ne s’était rien passé sur le trottoir.
- Quoi, André, que t’arrive-t-il? Mon corps est le même qu’hier. Je ne t’inspire plus, tu restes mou, ta verge ne veut plus lever la tête lorsque je parais nue devant toi ? Serre-moi dans tes bras.
Lili debout contre moi prend mon sexe pendouillant en main , elle fixe sa main, me masturbe gentiment. Le résultat la déçoit. Le regard incrédule, elle s’agenouille à mes pieds, observe avec désolation ma nouille honteuse, elle souffle sur le gland, approche ses lèvres, embrasse ma chair. Dans mon cerveau l’image de Robert la tirant à l’ombre pour obtenir les mêmes soins brouille mes sens. Même dans sa bouche mon pénis est presque insensible à la chaleur et aux caresses de sa langue. En désespoir de cause, Lili lève vers moi un visage couvert de larmes:
- Ce n’est pas possible, tu me crois coupable ! Je ne t’ai pas trompé, je ne te tromperai jamais. Je jure…
Un miracle se produit. Ma bite se charge de sang, grandit, grossit, durcit dans les mains bienveillantes. Je vois ma belle désespérée retrouver le sourire, bondir et jeter sur ma bouche ses lèvres chargées de l’ odeur du sexe gâté. J’échange le baiser ...