1. L'apprentissage


    Datte: 23/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bychauderlos, Source: Literotica

    ... douce Virginie, fessée par vos soins…
    
    Je note avec un plaisir certain que vous entraînez Virginie sur des terrains qui se révèleront utiles, le moment venu. Les vieux Messieurs de la Cour avivent souvent leurs faiblesses par le recours à la fessée. Je me chargerai cependant de lui apprendre, après la joie de recevoir que vous lui enseignâtes, le plaisir d'offrir.
    
    Écrivez vite, j'ai hâte d'avoir connaissance des derniers progrès de votre enseignement…
    
    Votre Marquise, frémissante.
    
    ****
    
    C**, ce 17 juillet 17**
    
    Marquise, douce et impatiente Marquise…
    
    Votre protégée n'aura bientôt plus besoin de mes soins pour faire des progrès dans ce domaine qui retient si souvent et notre attention et nos soins.
    
    J'ai malheureusement été retenu au village pour rencontrer mon tabellion ~ Dieux, que ces histoires d'argent m'assomment! Et je ne vis donc la belle qu'au déjeuner. Je l'interrogeais sur ses occupations de la journée, elle me conta ses exploits avec une naïveté, une fraîcheur délicieuses. Flânant dans les écuries, elle avait croisé un palefrenier et, l'ayant trouvé à son goût, lui avait proposé une petite gâterie que le jeune homme, ne sachant des choses de la vie que ce que la fréquentation des animaux lui avait appris, ne sut que répondre. Qu'à cela ne tienne: l'effrontée s'empressa de le dégrafer et de la langue et de la main, entrepris de lui enseigner des plaisirs dont une quinzaine plus tôt elle ne savait goutte. Valère, toujours à l'affût d'une bonne ...
    ... occasion, survint sur ses entrefaites. Sans tergiverser, il troussa la belle et, trouvant la place à son goût, la ficha sans tergiverser. Trémoussant de la bouche et du cul, elle fit décharger les deux bougres dans un bel unisson, avant d'aller, primesautière et sautillante, se rafraîchir à la fontaine voisine.
    
    Elle avait bien mérité une récompense, c'est ainsi qu'après les sorbets, j'entrepris de lui faire découvrir les délices du gamahuchage. Non qu'elle n'y eût point déjà goûté en compagnie de Dorine, mais il me faut l'avouer, l'idée de déguster son abricot enflammait mon imagination.
    
    J'installais donc Virginie bien confortablement sur un fauteuil, de façon que son visage soit tourné vers les croisées donnant sur le parc. Son visage naguère si innocent, ses yeux pétillants illuminés par l'excitation de l'attente, la chair tendre et rosée de ses épaules baignée par les rayons du soleil qui pénétrait à gros bouillons dans le salon, tout contribuait à rendre la scène ravissante. Et nostalgique, car nous savions tous les deux que c'était sa dernière soirée au château.
    
    Agenouillé à ses pieds, inversant pour une fois les rôles, j'entrepris de la trousser, chiffonnant dans ma hâté jupons et dentelles, entortillant rubans et fanfreluches… Ah, j'avais hâte de voir enfin son trésor de très près… Mon impatience fut bientôt récompensée: quelle vue! Quel spectacle! Ses cuisses blanches et roses, délicatement soulignées par ses bas; la fine toison bouclée qui surplombait sa vallée… ...