1. L'apprentissage


    Datte: 23/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bychauderlos, Source: Literotica

    ... dissimuler, ma main s'abattit une fois, deux fois, trois fois, sur ses fesses qui bientôt prirent une belle teinte rosée. Après avoir appliqué quelques coups du plat de la main, sans trop les appuyer, son petit cul prit une teinte rosée des plus appétissante. Arrachant à regret mon regard de ce spectacle enchanteur, je me penchais vers elle pour la consoler… Vaine sollicitude, Dorine s'y employait, et de la plus douce manière, embrassant l'infortunée à pleine bouche, à tel point que ses soupirs étaient étouffés par ses lèvres gourmandes. Reprenant son souffle, Virginie se tourna vers moi, et je lus dans ses yeux étincelants un bonheur, un ravissement inspiré par ces sensations nouvelles, une prière muette, que je retournais à ma besogne, claquant avec ravissement ces fesses si douces.
    
    Lorsqu'elles furent brûlantes, je lui enjoignis l'ordre de se relever, et la plaçais face au fauteuil que j'occupais précédemment, le postérieur tourné vers moi, alors que Dorine vient, à genoux, de l'autre côté du dossier sur lequel elle s'appuyait. En un tournemain, je me dégrafais, et d'un lent mouvement coulé, introduisis mon membre dans sa craquette fondante. Ahh, Marquise, quel plaisir, elle était serrée comme il faut, douce et veloutée, chaude… Une tendre fontaine garnie de mousse et d'algues, un ravissement qui se propagea dans tout mon corps. La prenant fermement par les hanches, j'entrepris de la besogner, alternant lenteur et mouvements rapides. Dorine s'employait à la ...
    ... satisfaire elle aussi, l'embrassant avec passion tandis que ses mains s'activaient sur la délicate poitrine de la belle. De temps en temps, j'appliquais quelques claques sonores sur son fessier, ravivant ses couleurs et aiguisant ses sensations.
    
    Quoi, je ne suis pas de bois, et bientôt, encouragé par les petits cris qu'elle poussait, j'allais de plus en plus vite, en un crescendo qui me propulsa dans les abîmes du plaisir. Ma queue se contracta, tressauta, et en longs jets crémeux je me vidais en elle, pantelant, les yeux clos, le souffle court. Sa jouissance ne tarda pas, et, sollicitée par sa bouche, ses seins et sa fente, elle clama son plaisir aux quatre coins du salon.
    
    Lorsque nous eûmes tous trois repris notre souffle, je l'aidais à se relever et, après l'avoir dûment remerciée, et embrassée avec tendresse, je la laissais aux bons soins de Dorine. Je gage que la mutine, émoustillée par ce qui venait de se passer, ne dut pas laisser Virginie se reposer avant qu'elle n'eut goûté à sa part de plaisir…
    
    Voilà, douce Marquise, la relation des derniers événements du Château. Nul doute qu'avec les assauts de cette nuit, j'ai fait de grands pas vers la possession de votre petit orifice. Gardez le bien au chaud pour moi.
    
    D'ici là, je reste, chère Marquise et douce amie, de vos désirs l'attentif admirateur
    
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    P**, ce 15 juillet 17**
    
    Cher, très cher Chevalier
    
    Vos mots, vos descriptions… Vous me faites languir, et, dût ma fierté en souffrir, j'avoue avoir envié la ...
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