1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (4)


    Datte: 19/07/2020, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... la queue de mon mari ou, du moins pas comme ça. Quand ça le prenait, toujours dans la salle de bain, il me forçait à me mettre à genoux puis me plongeait sa bite dans la bouche et me tenant la tête comme dans un étau pour me défoncer comme si c’était ma chatte. Je devais subir cette irrumation et n’y prenais aucun plaisir. Quand il sentait l’orgasme poindre, il arrêtait, me retournait, trouvait vite l’entrée de ma chatte et venait y jouir.
    
    Mais la bite d’Idris, j’en faisais ce que j’en voulais. Elle était bonne, si dure, si douce, si parfumée.
    
    — Lèche-moi les couilles, pria-t-il tendrement.
    
    Je pris les deux gros bonbons en main. Ils pendaient peu. Puis je fis ce qu’il avait demandé en prenant toujours plus d’initiative, allant des boules au membre et vice versa, ne me fiant pour changer d’endroit et de rythme qu’à ses grognements et ses mouvements de hanche.
    
    Tout en m’occupant de ce sexe, je caressai le mien d’une main.
    
    Il se retira. Je penchai la tête pour croiser son regard.
    
    — Allonge-toi !
    
    Il n’eut pas besoin de le répéter. Pas plus qu’il n’eut à me dire d’écarter les cuisses.
    
    Sa tête s’y enfouit. Il déposa des baisers à droite et à gauche tout en remontant vers le sexe. Il y posa son nez et inspira fortement à plusieurs reprises comme s’il sniffait.
    
    Puis il y mit délicatement la langue, juste en effleurant d’abord, il fit le tour de la moule en léchouillant les grandes lèvres puis se posa enfin sur le bouton.
    
    Sa langue était experte et il ...
    ... n’eut aucun mal à me faire jouir.
    
    Quand il m’eut fait crier une première fois, il remonta vers moi, mangeant mon nombril, avalant mes seins et progressant toujours, jusqu’à ce qu’il atteigne ma bouche et que nos langues se mélangent.
    
    Sa queue était prête à entrer. Il n’attendit que mon signal.
    
    — Prends-moi !
    
    Et il me prit. Et ce fut fantastique. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude. C’était comme si j’étais prise pour la première fois.
    
    Il changeait sans cesse de mouvement, vite, lent, sec, doux, ondulant de gauche à droite et de haut en bas, se retirant tout à fait et replongeant d’un coup, restant planté au fond, immobile, tendu sur ses bras pour m’embrasser, me sucer les seins ou tout simplement me regarder tendrement et me demander :
    
    — Tu aimes ?
    
    — C’est merveilleux, c’est merveilleux, c’est comme si je n’avais jamais fait l’amour avant.
    
    A plusieurs reprises, il voulut changer de position, me prendre sur le côté ou en levrette.
    
    — Pas maintenant, pas aujourd’hui, je t’en prie, laisse-moi vivre ce moment que j’attends depuis si longtemps.
    
    Et ce moment c’était de sentir longuement un homme puissant me recouvrant et me possédant. Je m’accrochai à ses fesses, je l’enserrai de toute ma force, j’agrippai sa nuque pour le faire venir à moi, je caressai son dos pour connaître jusqu’à la moindre forme de ses muscles jusqu’à son moindre grain de peau.
    
    Et puis enfin, je sentis que j’allais jouir alors je le stimulai.
    
    — Vas-y, vas-y, oui mon ...