Histoires de cocus (extra)ordinaires (4)
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... j’étais allée voir ce qu’il en était. C’était donc ça du sperme ! Et maintenant, des années après j’imaginais Idris essuyant le sien sur son torse après s’être masturbé.
Je me baissai pour en ramasser un. Pas de doute, c’était bien cela, comme les mouchoirs usagés du frangin.
— Il faut en effet faire du ménage ici... tu as l’air très enrhumé.
— Euh... ouais... ouais ouais... c’était ce week-end mais ça va mieux là. Donne, j’vais les mettre à la poubelle, dit-il très embarrassé.
Il me tendit la main pour saisir le mouchoir chiffonné où le sperme, en séchant, avait laissé des concrétions jaunâtres et rugueuses que je reconnus bien Il prit le mouchoir, mais je ne le lâchai pas.
— Donne... dit-il
Au lieu de cela, sans céder le mouchoir en papier je saisis la main et lentement, je la portai à ma bouche.
— Euh...
— Idris ?
— Oui ?
— Est-ce que tu me trouves belle ?
— Euh... carrément ouais...
— C’est ton sperme sur les mouchoirs ? Demandai-je en me surprenant de l’incongruité de ma question. Mais en même temps, je brulai ainsi mes vaisseaux. Plus de retour en arrière possible.
-.....
— J’aimerais que tu le mettes en moi.
— Le... le mouchoir ?
J’éclatai de rire.
— Mais non grand couillon ! Ton sperme, ton sperme, dans moi, directement...
Sa pomme d’Adam sauta dans sa gorge.
Je mis le mouchoir entre mes dents et commençai à déboutonner mon chemisier puis le laissai tomber à terre.
Je m’approchai de lui et me mis à défaire sa ...
... ceinture.
— T’es sûre de ce que tu fais là ?
— J’ai envie de toi.
— Mais, ton mari...
— Justement. Idris, si je te plais, fais-moi l’amour, vraiment, comme un homme qui veut faire plaisir à une femme...
Il me regarda intensément et tout fut dit dans ce regard où, non seulement il y avait un assentiment mais aussi beaucoup de désir et de respect.
Alors il passa sa main derrière moi, dégrafa mon soutien-gorge et se mit fiévreusement à me baiser les seins.
Le choc de cette chaleur libidinale fut extraordinaire. Il allait de l’un à l’autre ; engloutissait tout ce qu’il pouvait du globe, puis léchait le téton à grands coups de langue et le mordillait ensuite.
Ces mains énormes étaient sur mes fesses et entrèrent bientôt dans la culotte.
Je m’agenouillai pour finir ce que j’avais commencé. La ceinture était détachée mais la braguette encore fermée. J’enlevai le bouton, dézippai la fermeture éclair et entrai ma main qui rencontra aussitôt l’objet durci de mes désirs.
Je baissai le pantalon et écrasai mon visage contre le slip. Je fus enivrée par le parfum qui s’en dégageait. A travers le tissu je commençai à sucer la bite, puis, n’y tenant plus, je la dégageai et, avant de la sucer, je la contemplai.
Peut-être étais-je un peu déçue. Je m’attendais à plus grand bien qu’elle fût déjà plus longue et, surtout, plus épaisse que celle de mon mari.
La prendre, la serrer, la lécher puis l’avaler furent des moments de pure félicité. Jamais je n’avais sucé ...