"Le piège" (5)
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... desserra volontairement la pression, afin que cette main puisse atteindre son objectif : sa chatte ! Et effectivement, le gros Alban, ayant compris que la femme lui autorisait le passage, car il ne sentait plus la pression des cuisses, qui aurait pu lui interdire l’intromission tant espérée, fit entrer ses deux doigts boudinés, aux ongles noirs dans ce petit trésor, qui lui semblait alors accessible. Lui, qui rêvait de baiser ma femme, il lui mettait deux doigts dans ce puits chaud et humide, dont il sentit qu’il accueillait cette intromission discrète avec délectation.
Cécile qui répondait aux questions de Ruiz sur ses rapports pour le moins conflictuels avec son mari, sentait les deux gros doigts dans son intimité, qui commençaient à la faire chavirer de bonheur. Elle sentait que si cela durait un peu plus longtemps, elle allait être la proie d’un orgasme ravageur, l’un de ceux qu’elle n’avait plus connus depuis un bon moment avec moi !
Ruiz ne remarquait pas les signes avant-coureurs de la tempête, qui naissait dans le ventre et l’âme de la jeune femme. Celle-ci s’interdisait tout gémissement, alors qu’elle avait envie de crier : “ putain baise-moi, gros con, fous-la-moi ta grosse queue dégueulasse !”
Je connaissais très bien ma femme, enfin jusqu’à la découverte de ce potentiel érotique si bien enfoui, et j’imaginais sans peine ce qui devait se passer dans sa tête et son corps.
Jamais jusque-là, de telles idées et un vocabulaire si sordide n’avaient effleuré ...
... l’esprit de la jeune femme, si polie et si bien éduquée !
Le seul signe qui aurait pu mettre la puce à l’oreille, de ce qui se passait devant lui, était le fait qu’elle se mordait les lèvres...
Et puis la magie de l’instant fut perturbée par un bruit de moteur... une voiture arrivait dans le virage précédant la ligne droite.
— Putain, tout le monde à couvert, dans le fossé !” Ruiz, ancien homme d’action, semblait avoir retrouvé ses réflexes de guerrier !
Alors, tandis que la voiture, enfin plutôt la voiturette qui se traînait sur la pente du coteau, allait passer devant eux, Cécile se retrouvait nue, couchée sur un tapis d’aiguilles de pin, qui lui piquaient sa peau si douce et si soyeuse. Elle avait sauté dans le fossé, accompagnée du gros Alban. Elle sentit alors la main du gros qui revint à l’attaque de sa féminité. Cette fois-ci, elle écarta carrément les jambes, laissant son sillon fessier et sa moule ouverte à toutes les convoitises de ce gros porc... et le saligaud ne se fit pas prier.
Ce coup-ci, il lui fit la totale. De là où je me trouvais, avec mon bon angle de vue et mes jumelles de précision à fort grossissement, je voyais distinctement le pouce venir titiller la rondelle, les trois doigts venir limer la moule, et s’y introduire, pendant que le majeur venait agresser le clitoris. Cette fois, Cécile ne retenait qu’à grand-peine ses gémissements. Heureusement, les deux autres s’étaient réfugiés derrière le buisson à 6 mètres de là, et la voiturette ...