"Le piège" (5)
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... quelle va être leur réaction à eux !
En tout cas, elle a continué sa course dans le plus simple appareil, le corps nu, bronzé, brillant de sueur, en abandonnant sa blouse, seul rempart pour sa vertu, environ 400 mètres derrière elle. Difficile de pousser un sprint pour la récupérer, quand elle sera entre les mains des trois vicieux. Après tout, peut-être a-t-elle mal calculé les dangers inhérents à ce genre de situation. Tant pis pour elle ! Si les choses devaient prendre une mauvaise tournure, je la regarderais se faire prendre par les trois pervers, consentement ou pas. Quand on joue avec le feu, il faut accepter le risque de se brûler... mais d’un autre côté, je pense que Ruiz, lui, n’est pas assez con pour risquer une agression sexuelle de ma charmante épouse. Il est beaucoup plus malin que cela !
Cécile arrive aux abords du buisson où sont cachés les trois compères, qui sortent de leur cachette en applaudissant la superbe créature sylvestre, et en rivalisant de compliments pour son corps de rêve.
— Alors cela vous plaît, messieurs ?
— Oh putain oui alors, t’es vraiment trop bonne Cécile. T’es super bien gaulée !
— Vous aviez pourtant déjà eu tout le loisir de me mater l’autre jour !
— Tu savais ? “
Ruiz seul, parlait à ma femme, les deux autres trop émus par la proximité d’une femme nue si désirable, ne pipaient mots. Ils s’étaient néanmoins rapprochés très près, derrière elle, en la calculant sous toutes les coutures, pendant que Ruiz tapait la ...
... discute avec elle. En un mot, Cécile était encerclée, à poil, offerte, sur une route de campagne déserte, à l’abri des regards, par trois vicieux libidineux qui rêvaient de se la taper depuis plusieurs mois. Tout cela était-il prudent ? Nous allions le découvrir, elle et moi, d’ici quelques minutes...
Le gros Alban, s’enhardissant, profitant que Cécile était en pleine discussion avec Ruiz, lui posa une main sur la fesse droite. Sur le coup, surprise, ma femme ne dit rien, continuant de parler avec Ruiz. Le contact qui aurait dû la faire crier ne la gêna pas outre mesure. Elle savait que la main appartenait au gros Alban, un type qui la dégoûtait de par son apparence physique, 130 kilos de mauvaise graisse, un air stupide et brutal, une odeur corporelle très forte... en effet Alban était fâché depuis un moment avec l’utilisation du savon. Tout dans ce type, qu’elle évitait au maximum dans le village, la repoussait, lui donnait envie de vomir. Et pourtant là, sur cette route, complètement nue, sans défense au milieu des trois hommes, ce contact lui procurait une sensation bizarre, un creux dans l’estomac, une boule de satisfaction malsaine, de désir inassouvi, de trouble sexuel.
Même en rêve, elle n’aurait jamais accepté l’idée que ce gros bouseux pose les mains sur son corps si parfait, dont elle était si fière. Et pourtant là, elle se laissait faire, se demandant jusqu’où il irait. Elle ne fut guère étonnée lorsque deux doigts s’introduisirent entre ses cuisses, dont elle ...