"Le piège" (5)
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... faisait un bruit d’enfer.
Je regardais comme hypnotisé, le gros pouce qui faisait son chemin dans l’anus de ma femme, il y avait enfoncé les deux phalanges... elle, qui m’avait toujours refusé la sodomie ! Mais quelle salope ! Pas de doute, elle prenait son pied cette pute, avec un pouce dans le cul et trois doigts dans la chatte ! Je le voyais à sa cage thoracique, qui se soulevait, le cœur devait battre la chamade, et pas à cause du footing !
Le gros Alban put bien profiter de ma femme, car le conducteur de la voiturette, le vieil Edmond, qui avait sa vigne au-dessus du coteau, avait arrêté son bolide, étonné par la blouse oubliée par ma femme sur la route. Regardant de droite et de gauche, il se demanda d’où pouvait bien provenir le linge, dont il sentit les effluves féminins. Avec un coup au cœur, je me dis qu’il aurait vite compris à qui appartenait le vêtement, vu que Cécile écrivait toujours son nom sur ses vêtements au niveau de l’étiquette... et bien cela allait bien faire jaser dans le village !
Après 5 bonnes minutes, le vieux repartit dans sa voiture et dépassa les protagonistes de cette sordide aventure ; puis disparut dans un dernier virage. Le gros Alban avait eu bien le temps de profiter des trous de mon épouse volage et consentante.
Cécile se retrouvait vraiment à poil, perdue en pleine campagne, elle ne pouvait remettre la blouse que le vieux avait emportée avec lui. Alban proposa poliment de la déposer à notre maison avec son “bolide”, et ...
... Cécile se retrouva donc à poil, sur le siège arrière, en compagnie de Lucien qui ne se lassait pas d’admirer sa plastique. Discrètement, alors que la voiture d’Alban redescendait le coteau à la vitesse fascinante de 39 kilomètres/h, je vis subrepticement le petit Lucien oser une main sur la cuisse dénudée de ma femme, alors que celle-ci posait sa main sur la bosse plus qu’impressionnante de son pantalon... je n’en sus pas plus, car le véhicule sortit du champ de vision de mes jumelles... il fallait quand même que je rentre le plus vite possible, pour éviter tout débordement ou orgie intempestifs.
Fébrilement, alors que je redescendais à pied, vers notre domicile, des images d’Alban en train de baiser ma femme sauvagement, en levrette, tandis, que celle-ci taillait des pipes baveuses aux deux autres, me parvenaient vicieusement à l’esprit. Comment réagir si c’était vraiment le cas ? Après tout, Ruiz avait un moyen de pression me concernant : Simone, et nos exploits au bord du lac de la carrière. Il me serait donc difficile de ramener ma fraise. Mais je pensais qu’il ne se passerait rien de tel. Ma femme ne paraissait pas encore mûre pour de telles acrobaties, surtout avec le risque que je les surprenne !
Ce soir-là, j’étais sur ma terrasse, à siroter un verre de Jack Daniel’s, et à fumer une cigarette, en regardant les étoiles... attendant que les 23h30 fatidiques retentissent, que je puisse rejoindre cette harpie un peu déglinguée, qui était devenue ma maîtresse du ...