1. Démons et merveilles


    Datte: 12/04/2018, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... l’orgasme.
    
    J’entrouvre les yeux. Moi non plus, je n’y tiens plus. Je ne voudrais penser à rien qu’à dominer le plaisir qui monte. Mais les corps cambrés et les gloussements indistincts de Babette et Marion me ramènent à leur âge. Et je te vois, toi, au bord du paroxysme, prête à t’abandonner à la jouissance. Ton inquiétude futile me détend, m’offre une chance de ne pas succomber la première, même s’il m’est difficile de parler sans gémir.
    
    — La dernière… donnera… hummm… un gage… ààààà… laaa… première… héééé… et viii… vice… héééé… et versa… aaaaah !
    
    J’ai refréné l’explosion in extremis, retrouvant assez de lucidité pour compter les doigts que tu te fourres dans la chatte : quatre, comme moi (trois pour Marion et deux pour Babette, pauvres choutes !). J’admire leur flux et leur reflux dans ton entaille, les chairs aspirées et repoussées par leurs va-et-vient désespérés. Je devine ton clito gonflé, je me souviens de sa nudité et de sa sensibilité sous ma langue.
    
    Oui ma chérie, je commence à te connaître. Assez pour t’entraîner dans un piège tendre et fatal. Mon pouce libre s’écrase sur mon capuchon. Un éclair électrique me traverse, me raidit… je te souris. Tu m’imites, tu sursautes, tu râles… Babette et Marion découvrent notre manège et s’y essaient. Un nouveau défi nous confronte… J’augmente la cadence de mes doigts dans la crevasse et les pressions de mon pouce sur le bouton. Tu me suis ; les gamines sont distancées.
    
    La fine peau du capuchon est un rempart ténu ...
    ... contre l’agression, mais juste suffisant pour m’éviter un contact trop direct. Pas pour toi ! La sensitivité de ton bourgeon exaspéré est trop forte, c’est insupportable et délicieux. Un cri t’échappe, un jappement de plaisir douloureux et définitif. Ta main broie ton sein, tes yeux se révulsent, ta vulve expulse ses dévoués agresseurs. Un flot de cyprine les accompagne…
    
    Je n’en vois pas plus. Des étoiles explosent dans mon sexe, des ondes brûlantes montent de mon ventre, des vagues tièdes coulent entre mes lèvres, mes yeux se noient, ma tête s’envole, un râle aigu perce mes oreilles… Est-ce moi ? Je m’effondre contre le mur, les muscles avachis, le regard brouillé, l’esprit vide de tout sauf du besoin de jouir encore.
    
    La demi-conscience qui suit l’orgasme est encore l’orgasme. Le sang bat dans mes seins, ma chatte palpite, ou est-ce l’inverse ? Mes mains réinvestissent ma grotte et mes doigts s’enfoncent sans résistance dans une béance gluante. Mes parois vaginales réagissent à cette nouvelle intrusion et se crispent fortement autour des envahisseurs. Je modère mes attouchements. Après tout, j’ai perdu, alors autant profiter tout mon saoul du plaisir sexuel que je me donne et du spectacle érotique que vous me donnez.
    
    De l’index et du majeur, prudemment et copieusement enduits de ma mouille, je cajole mon clitoris, le délaissant ensuite pour titiller mes tétons avant de replonger dans la source et de reprendre le même chemin. Sans me presser, j’observe mes sœurs en ...
«12...567...»