Démons et merveilles
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
fff,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... les pointes sont trop courtes. L’une d’elles lui échappe, le sein retombe brutalement, elle est vexée. Elle recommence en pinçant avec ses ongles. Un petit gémissement lui échappe ; elle penche la tête en arrière, les yeux fermés. La petite douleur accroît l’effet de sa caresse.
Je prends ma poitrine à pleines paumes, comme pour la soupeser. Je te regarde, je la tends vers toi. Mes doigts coincent les mamelons, font ressortir les aréoles et les tétons. Tu ris, tu te souviens de nos jeux dans l’arrière-boutique. Je pétris mes seins. Je vise les filles avec mes gros tétons qui tressautent. Je me concentre sur un globe. Je l’étire vers ma bouche. Je lèche le bout en fixant Marion.
Elle veut faire pareil. Elle allonge tant qu’elle peut ses mignons pigeons. Elle en grimace. Elle essaie avec l’un, avec l’autre. Elle baisse la tête, tire la langue aussi loin que possible. En vain : les petits bouts à peine gonflés la narguent. Elle s’obstine. Babette a pitié d’elle. Elle se penche pour la téter, mais tu interviens :
— Ah non, on n’a pas le droit d’aider sa copine !
— C’est vrai, quoi, c’est de la triche ! Est-ce que je demande à Chantal de me lécher, moi ?
En réalité, je suis une belle hypocrite. J’ai repéré les bouts invaginés de Marion. Je suis la première à avoir envie de les sucer. J’ai envie de poser mes lèvres autour des petits mamelons et de les aspirer comme une ventouse. Je voudrais sentir les tétons s’allonger dans ma bouche et les titiller avec ma ...
... langue… Rien que d’y penser, la tache sous ma chatte s’élargit sur le drap de ton lit.
Une main descend toute seule vers mon ventre et mes doigts retrouvent la grotte qu’ils fouillaient si férocement tout à l’heure. L’appel était trop fort : finalement, c’est moi qui ai donné le signal du soulagement collectif. Car ce sont bien des soupirs de soulagement qui sortent des gorges de quatre furies impatientes de jouir. Il n’y a plus de minous ni de minettes, juste des chattes en folie qui remplissent la chambre d’odeurs de rut.
Comme dans un miroir, je vois Marion qui elle aussi pétrit ses petits tétons et agite les doigts dans sa foune. Ses phalanges plongent et ressortent au même rythme que moi, de plus en plus vite. À croire qu’elle me défie ! Mais Babette fait pareil, et toi aussi. Toutes les quatre une main aux seins, une main dans la chatte… sauf que toi, tu t’es renversée en arrière, appuyée au mur, et tu nous exposes les soubresauts de ta poitrine et de ton ventre.
Vous m’affolez, je vous affole, nous nous affolons mutuellement dans un mimétisme contagieux ponctué de plaintes douces et de gémissements de plaisir. Mes seins trop sollicités et mon vagin exaspéré irradient des ondes incontrôlées qui s’affrontent et tourbillonnent en moi. Les spasmes se succèdent, mon corps m’échappe. Je lutte contre la vague qui va m’emporter, je ne veux pas jouir plus vite qu’une gamine !
— Mais qui… va… donner… les gages ? dis-je péniblement, dans un dernier effort pour retarder ...