1. Démons et merveilles


    Datte: 12/04/2018, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... une de ses chevilles.
    
    — Regarde comme elle a de jolis pieds, ma chérie. Bien formés, avec de ravissants petits orteils qui ne demandent qu’à être sucés…
    
    Je n’ai pas fini ma phrase que tu t’en empares !
    
    — Hé là, pas tout de suite, vilaine gourmande !
    
    Je masse ses pieds l’un après l’autre avant qu’elle laisse reposer ses jambes sur le bord du lit. Mes mains remontent le long de ses mollets, chatouillent le dessous des genoux, pressent doucement ses cuisses rondes, atteignent le pli des fesses. Babette soupire, ses jambes s’entrouvrent légèrement, juste assez pour apercevoir fugitivement le sillon de son abricot. Mes doigts pressent les fesses au bord de la raie qui les sépare. Mes mains les pétrissent un instant, refermant le sillon, puis l’ouvrant, pour le refermer, puis l’ouvrir un peu plus, jouant à te faire entrevoir, et à te cacher aussitôt, la rosette rose pâle de son anus.
    
    Je vois tes yeux brillants du désir d’en voir plus. Babette respire plus lourdement. Elle étouffe un petit gémissement quand j’écarte fermement son fessier.
    
    — Tu aimes ce petit œillet, Sophie ?
    
    L’étoile à peine plus foncée de son cratère palpite quand tu te penches dessus, que ton souffle l’effleure. Tu me jettes un regard suppliant. Je te souris.
    
    — Oui ma chérie, tu peux l’embrasser si tu veux.
    
    Quand tes lèvres se posent tendrement sur le petit trou, tout le corps de Babette frémit avant qu’elle se remette lascivement sur le dos.
    
    — Oh non, ai-je protesté lorsque tu as ...
    ... interrompu mes baisers et mes caresses sur Babette.
    
    Pourquoi nous sépares-tu ? C’est frustrant ! Tes gestes tendres me calment, la vue de ses fesses dodues m’excite. Je ne comprends pas tout de suite ce nouveau jeu. Je résiste. Bien sûr qu’elle a de jolis pieds. Et des orteils adorables.
    
    — Oh oui, dis-je en les pressant sur mes lèvres.
    
    Je les lèche, les couvre de ma salive, pousse ma langue entre eux… Mais non, tu me repousses encore ; je te mordrais ! Tu me grondes en souriant ; je suis désarmée, mais toujours frustrée. Marion se moque gentiment de moi :
    
    — Chantal a raison, Sophie, t’es une vraie gourmande. Tu veux Babette que pour toi, dis ?
    
    Elle rit :
    
    — Je vais être jalouse, moi ! Puis m’embrasse dans le cou en reprenant : regarde un peu d’abord.
    
    Je regarde, oui. Je vois tes mains qui pressent les pieds de Babette, qui papillonnent le long de ses jambes, qui remontent vers ses fesses, qui frôlent les points sensibles de sa peau, qui pèsent doucement sur ses cuisses, qui les invitent à s’entrouvrir. Je regarde, et des papillons volètent aussi dans ma chatte quand tu me fais apercevoir sa vulve. Les papillons s’affolent quand tu joues à cache-cache avec sa raie.
    
    Tu me montres sa mignonne rosette, tu m’invites à la contempler tout près, tu joues avec mon désir de l’embrasser.
    
    — Oui, oui, je l’aime ce petit œillet, te dis-je, je l’adore ce petit trou, j’adore ce joli cul, j’adore ces belles fesses, tout !
    
    Ma respiration s’accélère, mes lèvres sont ...
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