1. 3 - Bonus


    Datte: 17/07/2020, Catégories: fhh, 2couples, couplus, voisins, vacances, collection, facial, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, échange, yeuxbandés, confession, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... maintenant reconnaître l’odeur, plus suave, presque sucrée de sa verge. Mes aventures extra-conjugales, très protégées, ne me permettaient pas de pouvoir comparer avec celle d’Augusto. Et j’ai oublié le goût de celles que j’ai sucées dans ma jeunesse. Pour le sperme, c’est encore plus limité. Augusto, et maintenant Nathan. Je suis loin des records que l’on peut voir dans des vidéos où la femme libère plusieurs hommes de leur semence sans aucune protection. Est-ce bien raisonnable et sécurisé ?
    
    Lorsque les deux hommes nous libèrent, je découvre le visage de ma copine, de la même façon qu’elle découvre le mien. On ne peut que sourire de ces traces blanchâtres que nos époux respectifs ont laissées comme preuve de leur virilité libérée. Je me retiens de recueillir des gouttes sur le visage d’Anne et de les porter à mes lèvres pour comparer le goût. Mais ils ne sont pas prêts, malgré leur apparente liberté, à voir leurs femmes les dépasser dans le fantasme et le goût du sexe.
    
    À propos de goût, je veux – moi aussi – m’essayer à la double pénétration. Anne m’en a bassinée des heures durant de cette expérience unique. Elle m’a même affirmé que, malgré les efforts de son mari, rien ne remplace deux sexes d’homme. Mais comment faire pour que ce soit les deux hommes qui organisent cela ?
    
    Au bord de la piscine, un peu plus tard dans l’après-midi, Anne et moi nous faisons des confidences, comme souvent. C’est vrai que depuis quelques jours, il s’agissait plutôt d’échanges de ...
    ... sensations, de ressenti dans le plaisir et dans la situation nouvelle où nous évoluions depuis notre arrivée au Maroc. J’évoque mon fantasme et elle m’avoue qu’elle aussi attendait cet instant que Nathan semblait, peut-être sans s’en rendre compte, retarder.
    
    — Ce soir, c’est nous qui allons conduire la danse, affirme Anne d’un air décidé.
    — Comment vas-tu faire ? Je ne suis pas certaine qu’ils soient prêts à se laisser diriger. Leur orgueil de mâles est encore trop fort.
    — Ne t’inquiète pas ; j’ai ma petite idée. Écoute : voilà comment on va faire.
    
    C’est au moment du repas que les hommes se sont rendu compte que l’ambiance avait changé. Nous ne parlions que pour l’indispensable. Bien vite, Nathan demande :
    
    — Chérie, quelque chose ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ?
    
    Comme elle le regarde sans répondre, il ajoute :
    
    — Oh, je connais bien cet air-là ! Qu’est-ce que j’ai fait ?
    
    Et Augusto d’insister :
    
    — C’est vrai ; toi aussi, Marie. Qu’est-ce qu’il y a ?
    
    Anne me regarde avec l’air de me demander « On leur dit ? » Comme je hoche de la tête, elle fait signe aux hommes de s’approcher afin que les autres tables n’entendent pas.
    
    — Marie et moi, on trouve que vous exagérez.
    
    Elle n’a pas le temps de continuer que Nathan demande, sur la défensive :
    
    — Mais, je croyais… Enfin, on croyait que cela vous plaisait.
    — Mais oui, bien sûr ; il ne s’agit pas de cela. Rassure-toi, mon chéri : je suis satisfaite.
    — Alors, je ne comprends pas. Et toi Augusto ?
    — Moi ...
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