1. 3 - Bonus


    Datte: 17/07/2020, Catégories: fhh, 2couples, couplus, voisins, vacances, collection, facial, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, échange, yeuxbandés, confession, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... bienvenue. Avoir le feu au cul, n’est peut-être pas seulement une expression : la réalité n’est pas loin.
    
    Waouh, mon Augusto se déchaîne. Il me bloque contre Nathan et décide de jouer cavalier seul. Son sexe me défonce le cul. Mais sait-il que c’est moi ? Mystère et sodomie… On peut dire que je le sens passer, mais au bon sens du terme. Sa queue semble plus grosse, plus longue, pressée qu’elle est par son concurrent qui occupe le terrain de l’autre côté de cette paroi que l’on dit si mince, entre con et cul.
    
    Ce cri qu’il pousse lorsqu’il jouit et que son sperme jaillit à la vitesse de la lumière est indescriptible. Mélange de « oui, super, c’est bon ». Indescriptible aussi ce frisson qu’il déclenche dans mes entrailles inondées. C’est comme s’il avait appuyé sur un détonateur. Je me transforme en furie, comme si la fin du monde arrivait et que je voulais connaître avant…
    
    Les mécaniciens en perdent leur latin. C’est le cylindre qui bouge sur le piston, et non l’inverse. C’est moi qui me baise sur le piston de Nathan, toujours aussi gros et ferme, attendant son heure. Et elle est arrivée, l’heure. Mes fesses s’écrasent sur ses cuisses avec un ce bruit ...
    ... si typique et si érotique.
    
    Ouiiiiii… Je jouis ! Mon jus se répand. Je sens même que du liquide coule, abondant, beaucoup plus abondant que jamais. Oui, c’est cela, l’effet double possession.
    
    Nathan me rejoint dans l’orgasme. Lui aussi marmonne des paroles incompréhensibles ; mais moi, je sais. Oh oui, moi, je sens sa semence jaillir au plus profond de moi.
    
    Quelques secousses encore. Je ne me rassasie pas de toutes ces émotions. Je guette chaque mouvement.
    
    C’est bon de sentir deux queues vous prendre et vous baiser. Mais c’est bon aussi de sentir que ces deux manches de pioche se réduisent progressivement, quittant doucement mes orifices et les abandonnant, encore ouverts et dilatés avec des traces de liquide blanchâtre de leurs sécrétions. Mes sens sont affûtés. Je sens chaque sexe se dégonfler et glisser, glisser pour rejoindre leur maître.
    
    Anne ne m’avait pas menti : c’est super ! J’ai déjà envie de recommencer. Je serai plus attentive, plus…
    
    Mais c’est une autre histoire.
    
    Maintenant, c’est à elle. Enfin, s’ils arrivent à bander. Sinon, plus tard. Demain. Mais j’imagine aussi les hommes ensemble, ou avec nous. Sans limites. Sans tabous. 
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