3 - Bonus
Datte: 17/07/2020,
Catégories:
fhh,
2couples,
couplus,
voisins,
vacances,
collection,
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... argent.
Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, et c’est seulement lorsqu’une ombre glisse dans la chambre que je prends conscience de leur présence. Il faut dire qu’Anne et moi sommes déjà en route pour notre plaisir. Comme souvent, c’est moi qui suis dessus, la tête plongée entre les cuisses de ma maîtresse, position qui isole du monde extérieur. Rien ne peut être comparé aux caresses d’une femme. Toujours le bon rythme, la même délicatesse, la même précision. Rien à voir avec la langue malhabile d’un homme, si expérimenté soit-il. À chacun sa spécialité.
Il ne faut pas longtemps pour que nous jouissions, de concert bien sûr ; cela fait si longtemps que nous nous connaissons.
Un regard pour découvrir nos deux hommes, la queue à l’air, une érection doucement entretenue par le lent massage de la main. Qui aurait pensé, quelques jours plus tôt, que cela serait possible ? Un tel spectacle… Ils sont mignons tous les deux, voyeurs attentifs du spectacle de leur femme. Et si on inversait les rôles ? Deux hommes qui se caressent. Deux femmes qui les regardent. Impossible ? Incongru ? Mais pourquoi pas ? Il suffit de choisir le bon moment. Tout est possible !
Mais je sais qu’ils attendent autre chose. Je me lève pour aller chercher le fameux double gode et, avant de rejoindre mon amie, je m’arrête devant eux. Provocatrice, je suce chaque extrémité sous leurs yeux. Ils adorent ce spectacle. Le rêve de chaque homme n’est-il pas de se faire sucer ? Mais je suis encore plus ...
... salope et je présente un gland parfaitement imité aux lèvres de Nathan. C’est sans se troubler qu’il l’accepte dans sa bouche. Certainement a-t-il déjà enduit le gode de salive avant de le glisser dans sa femme. Je simule par quelques va-et-vient une fellation masculine. Au tour de mon Augusto qui ne peut pas se dégonfler devant les autres ; je fais la même chose avec lui. Mon imagination fait le reste et, un instant, je vois un sexe de chair et de sang envahir la gorge de mon mari.
Anne m’attend. Je la rejoins et nous installe, assises face à face, en appui sur nos bras. Le gode envahit nos deux intimités. Nos chattes sont presque l’une contre l’autre, nos jambes mélangées pour pouvoir s’approcher au mieux. Voilà ce que veulent voir nos maris : deux femmes qui se branlent sur le même bâton. Pas de problème ; il n’est pas nécessaire de forcer notre nature pour entreprendre ces mouvements qui transforment alternativement l’une et l’autre de baisée en baiseuse.
— Venez, dis-je.
Ils ne se font pas prier. Un instant, nous sommes ballottées alors qu’ils montent sur le lit. Très agréable sensation que ce bâton de plastique qui se frotte à nos parois sous les fortes oscillations du matelas. Ils nous enjambent et, comme s’ils avaient répétés la scène, présentent leur sexe à notre bouche. J’ai connu position plus confortable ; mais on ne refuse pas une telle offre, surtout que c’est celle de Nathan qui est là. Je le suce et le gobe à m’en faire mal au cou et aux bras. Je sais ...