Ma robe vichy
Datte: 13/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... à un petit baiser en préliminaire, en préambule.
En réalité l’affaire ne s’est pas bien passée car, à peine sa bite a été en la chaleur de mes fesses, il s’est éclaté, me badigeonant la rondelle de son foutre chaud et fluide.
J’ai eu droit, après, à un baiser, mais c’est moi qui l’ai donné, en consolation.
Je lui ai, on se voit après le concert ? Tu auras rechargé et sera peut être alors moins expéditif.
Le second avait observé le manège et m’a prise par la taille à peine revenue aux buvettes. On est remontés, enlacés, au balcon. Il avait en main un nem et un verre de sangria blanche. La sangria blanche, c’est juste de la sangria normale mais faite au vin blanc, au muscat sec. Le nem, lui, n’avait rien de vietnamien ou de par là-bas. C’était un nem farci de poulpes à la plancha genre tielle arrosé de harissa. On a bouffé et bu ses trucs histoire d’avoir les mains libres.
Ses baisers sentaient fort les nouritures méditerranéennes et sa langue brulait des piments de sauces d’accompagnement. Et je m’en régalais. Je pensais, si sa bite est du même acabit, je ne pourrai plus m’assoir de toute la soirée.
Et m’a longuement pourléchée, tête enfouie sous mes jupons, brûlant mon petit clito de sa ...
... langue chargée en épices.
J’étais assise face à lui sur le petit muret, dos à la scène.
Tandis qu’il était à l’oeuvre, San Severino est arrivé en grand tintamare de musique. J’ai relevé mon prétendant, interrompant ses oeuvres lors qu’il était tout prêt de conclure. Le concert me paraissait plus important qu’une petite satisfaction. Surtout San Severino, un mec, un vrai , non ?
Un bisou aux saveurs exotiques en au-revoir et j’ai couru de marche en marche, bondissante gazelle, jusqu’à mon banc avec ma fratrie.
Mon cousin m’a dit, à l’entracte, c’est moi qui monte, je prends mon tour sur ton carnet de bal.
Mon cousin est grand et costaud, j’ai dit, entendu.
Il y a eu une entracte.
J’ai dit au cousin à ma droite, monte boire un verre si tu veux mais moi j’ai tiquet ici-bas, je ne te suis pas.
J’étais assise au troisième rang des gradins et San Severino m’avait matée tout durant la première partie, les yeux rivés sur le devant de ma robe vichy, lieu de surveiller ses doigts sur le manche de sa Fender. Je n’allais pas me défiler mais au contraire prétexter d’un autographe sur mon tiquet pour me faire mettre par ce mec derrière les consoles. En espérant qu’il serait , lui, à la hauteur.
à suivre