La surprise - Histoires de Sexe

La surprise

... conscients.
— Eh bien, encule-le alors… lui répond malicieusement ma Véro.

Ses yeux me disent d’accepter ; mes jambes tremblent de désir, mon pénis me semble brûlant et s’agite à chaque mouvement des doigts de ma tourmenteuse, et je ressens une grand vide quand elle les retire.

— Tu le veux vraiment ? Demande-le-moi ! murmure Fred à mon oreille.
— Laisse-moi jouir… Je n’en peux plus ! Je ferai tout ce que vous voudrez si tu me fais jouir…

Elle pose les mains sur mes fesses, les écarte doucement, et elle positionne le godemichet à l’entrée de mon cul.

Comme au ralenti, elle me pénètre, glisse doucement en moi, s’arrête pour me laisser m’habituer, se retire, toujours très lentement, et reste un instant à l’orée de mon cul qu’elle caresse de son gland de plastique tout en expliquant à ma femme, sur le ton d’un démonstrateur de foire :

— Vois-tu dans quel état il est ? Il est très important que les premières fois soient agréables pour eux. C’est un peu comme le conditionnement de Pavlov : une fois qu’ils ont mémorisé qu’il était agréable d’être enculé, ils y reviendront toujours. Il faudra même faire attention à rester maîtresse du truc : ils pourraient facilement virer tantouze et se débrouiller sans nous. Là, le tien est à point. Regarde, je l’enfile…

Je ne peux m’empêcher de gémir quand elle me pénètre à nouveau, toujours très doucement, et s’enfonce cette fois complètement, son ventre touchant mes fesses.

— Écoute-moi cette petite salope ! Tiens, je ne ...

... bouge plus. S’il veut jouir, il faudra qu’il fasse le boulot tout seul.
— Incroyable… Ça me donne envie d’essayer moi aussi. Mais il est tellement gros que je n’ai jamais osé ! lui répond ma femme tandis que, malgré moi, mon bassin commence aller et venir sur l’engin qui me transperce.

Je sens un plaisir étrange qui m’envahit progressivement, au rythme lent des va-et-vient que j’effectue inconsciemment sur le pénis artificiel, et que j’accélère pour hâter ma délivrance ; plaisir encore décuplé par la conversation entre les deux femmes.

— Regarde le mâle dominant, Véro, regarde-le ! Écoute-le couiner à chaque poussée sur ma queue ! Lui aussi il aime la bite ! Je parie qu’il ne traitera plus jamais personne d’enculé. Il ne va plus tarder à gicler, maintenant.
— Tu avais raison, Fred : il aime ça, c’est indéniable. Regarde sa pine ! Il bande comme un âne en s’astiquant le cul sur un gros gode. Recule-toi un peu pour voir…
— Non ! Pas maintenant, pas déjà… Encore un peu… je les supplie.

Cruelle jusqu’au bout, Fred obéit et se retire complètement, avec un bruit obscène.

— Désolé, chéri, mais c’est nous qui décidons aujourd’hui. Tu décides quoi, Véro ?
— J’hésite…
— J’ai compris la leçon : je vous obéirai sans discuter ! Dis-lui de continuer, Véro, je n’en peux plus…

Fred s’esclaffe, Véro jubile.

— Quelle salope ! Tu ferais n’importe quoi pour te faire mettre, non ?
— N’importe quoi. Prends-moi encore, Fred, je t’en supplie…

Véro me regarde droit dans les ...