1. La surprise


    Datte: 11/07/2020, Catégories: ffh, fplusag, copains, vacances, fsoumise, hsoumis, fdomine, fgode, hdanus, hgode, attache, Auteur: Gwynnbleid, Source: Revebebe

    ... Olivier, on baisait sans arrêt. Parfois plusieurs fois par jour ! Et du jour au lendemain, fini : plus que les caresses rapides quand ça devient trop dur, les godes de plastique froid qui remplacent mal la bite douce et chaude, avec le mec au bout qui te caresse et te murmure que tu es belle, qu’il t’aime, et qu’il t’aimera toujours. Si ta femme ne s’était pas dévouée pour moi, je me serais sûrement déjà pendue. Un an d’attente, tu imagines ?
    — Je vais te baiser ; détache-moi, Fred.
    — MAÎTRESSE, je t’ai dit. C’est trop tard. Véro m’avait dit que jamais tu n’accepterais. Monsieur a une bite de cheval, mais refuse d’en faire profiter les amies.
    
    Elle se glisse derrière moi ; ses mains me font frissonner quand elle les passe le long de ma colonne, et je gémis quand elle s’empare sans douceur de mes fesses.
    
    — Ta femme a gagné son pari : tu es resté fidèle jusqu’au bout.
    
    Diabolique, elle caresse mon cul, me forçant à me cambrer davantage.
    
    — Je vais maintenant gagner le mien…
    
    Elle s’éloigne ; je ne comprends pas. Je n’arrive pas à savoir ce qu’elle fait derrière moi.
    
    Je pose les yeux sur Véronique qui revient doucement à elle et me regarde en souriant.
    
    Fred est à nouveau derrière moi ; je sens son gode qui appuie contre ma cuisse. J’ai un long frisson quand sa main s’aventure à nouveau sur mes fesses et qu’un doigt glissant s’insinue entre elles et me caresse le cul.
    
    — Tu aimes ?
    
    Le doigt inquisiteur me pénètre, me caresse l’anus, me fait fondre.
    
    — ...
    ... Tu es à ma merci. Je pourrais te violer sans douceur sous les yeux de ta femme, et vous ne pourriez rien faire pour l’empêcher, ni l’un ni l’autre.
    
    Un deuxième doigt rejoint le premier. Je n’ai pas mal du tout, bien au contraire. Ma queue inutile toujours fièrement dressée devant moi prouve assez clairement que le traitement me convient.
    
    — Mais j’aime mieux te faire découvrir le plaisir qu’on peut ressentir en se faisant enculer…
    
    Un troisième doigt s’enfonce sans problème dans mon cul. Elle me caresse de l’intérieur et, à ma grande honte, la sensation est merveilleuse. Je ne sais plus où me mettre. Je m’aperçois qu’un filet translucide s’écoule lentement de ma bite. Véro me regarde curieusement, l’air surpris ; et quand Fred retire ses doigts, je ressens comme un vide et je murmure :
    
    — Non…
    
    J’ai un soupir de bonheur quand elle reprend sa caresse.
    
    — Tu aimes ça ?
    
    Comme je ne réponds pas, elle s’arrête de nouveau.
    
    — Oui.
    — Oui qui ?
    — Oui, Maîtresse.
    — Qu’est-ce que tu aimes ?
    — Ta caresse… Maîtresse.
    — Comment on appelle cela ?
    
    Je n’ose répondre, et elle s’arrête à nouveau.
    
    — Se faire…
    — Oui ?
    — Sodomiser.
    
    Je suis mort de honte, et ce sentiment, loin de faire retomber la pression, décuple mon désir.
    
    — Sodomiser, c’est bon pour les encyclopédies. Trouve autre chose.
    — Se faire enculer, Maîtresse.
    — Voilà, c’est dit. Véro, ton homme aime se faire enculer. Je te l’avais bien dit : ils aiment tous ça, sauf que peu d’entre eux en sont ...
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