1. La surprise


    Datte: 11/07/2020, Catégories: ffh, fplusag, copains, vacances, fsoumise, hsoumis, fdomine, fgode, hdanus, hgode, attache, Auteur: Gwynnbleid, Source: Revebebe

    ... vraiment n’importe quoi, j’obéirais : la tête de ma mère, mes couilles, mon cœur, ma vie ; je lui donnerai tout.
    
    Pendant que son con se liquéfie sous ma langue, elle pose ses cuisses sur mes épaules et, d’une étreinte puissante, me soude à son bassin, s’empare de mes cheveux d’une poigne autoritaire et m’impose son rythme.
    
    Elle se masturbe langoureusement sur mon visage, frotte son clitoris sur l’arête de mon nez. C’est elle qui mène la danse, et j’ai du mal à respirer. Tenir, je dois tenir coûte que coûte, car elle veut que ça dure longtemps et que moi, je l’aime, je veux lui plaire, je veux la combler.
    
    Après ce qui me semble une éternité, elle atteint enfin le stade où je peux la faire jouir quand je veux. Ses cris inarticulés n’ont plus rien à voir avec ceux qu’elle poussait plus tôt avec Fred. Quand c’est moi qui suce, c’est plus rauque, plus animal, plus sensuel.
    
    Son cri couvre le chant des cigales quand elle jouit, et résonne dans toute la baraque.
    
    Elle me repousse, me prend par la main :
    
    — Allons déjeuner !
    — Dans cette tenue ? Laisse-moi passer un bermuda…
    — Non, comme ça. Viens.
    
    Fred est déjà sur la terrasse, les joues rouges et les yeux brillants. Quand elle nous voit descendre, nus tous les deux et moi affublé d’une trique monumentale, elle écarquille les yeux et manque de s’étrangler avec son café.
    
    Entre deux quintes de toux, elle s’étonne :
    
    — Avec ce que vous… Il est encore… dur ? Pas possible !
    — Non : il est puni, il n’y a que moi ...
    ... qui ai eu du plaisir, lui répond Véro en riant.
    
    Le visage de Fred se décompose, ses yeux s’emplissent de larmes et elle quitte la table en renversant sa chaise :
    
    — Excusez-moi… dit-elle en éclatant en sanglots et en courant vers la cuisine.
    
    Je regarde Véro sans comprendre.
    
    — Et merde ! J’avais oublié ça.
    — Oublié quoi ? Tu m’expliques ?
    — Fred m’a avoué qu’avec Olivier, ils étaient adeptes des jeux de domination/soumission érotique. Je n’aurais pas dû parler de punition.
    — Putain, elle va nous gâcher les vacances. J’en ai marre ! On peut rien dire, on peut rien faire, on n’arrête pas de s’engueuler !
    — Elle est à bout de nerfs ! Essaie de la comprendre : toute seule, pas de mecs depuis plus d’un an, ce n’est pas facile… Je vais essayer d’arranger ça. Va faire une ballade en moto. Ce soir, ça ira mieux.
    
    9 août – Le soir
    
    Quand je gare mon engin dans la cour, je suis calmé. Pas de trace des filles ; je prends une douche fraîche avant de partir à leur recherche.
    
    Alors que je commence à penser qu’elles sont parties faire une balade, elles surgissent de l’escalier qui descend du grenier en riant comme deux hystériques.
    
    Ma Véronique porte une courte robe de soie noire, très décolletée, et tellement courte qu’à chaque pas qu’elle fait on peut entrapercevoir le haut de ses bas résille maintenus par un porte-jarretelles noir. Une paire d’escarpins vernis noirs à talons aiguilles interminables, un serre-tête blanc et un petit tablier blanc, noué autour de la ...
«1234...9»