1. La mère (1)


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... orifices était le plus profond, le plus vivant, le plus musclé, sa bouche, son trou du cul ou son vagin ?
    
    Ah ! Cette Nini !!!
    
    Tout le monde l’appelait Nini. Une bonne femme d’une cinquantaine d’années aux grosseurs phénoménales. Ses nichons plus qu’opulents qu’aucun chemisier n’arrivait à contenir et son cul démesuré d’hippopotame avaient vite attiré mon regard vicieux. Mon imagination me faisait sans cesse galoper dans des rodéos d’enfer, les mains agrippées à ses tétons, la bite coincée au plus profond de son boyau.
    
    Véritable refoulée. Elle m’était un défi ! Cette bigote avait remplacé le godemiché par un crucifix et elle préférait tripoter des boules de chapelet plutôt que son clitoris.
    
    Savait-elle même encore où se nichait le petit jésus ?
    
    Je la croisais souvent dans le parc sur le sentier menant à la chapelle. A chacune de nos rencontres il me prenait l’envie de lui en rappeler l’existence et ce à quoi il servait. J’en souriais, salivais d’avance, ma trique réagissant comme celle du chien de Pavlov. J’étais obligé de mettre mes mains dans mes poches pour la faire patienter.
    
    J’avais repéré tout au fond du parc, à l’arrière de la chapelle une petite porte rouillée, inutilisée. J’en avait réparé la serrure et graissé les gonds, fabriqué une clé. C’était le coin le plus isolé et le plus tranquille de l’institution. Un curé y venait une fois par semaine, passant par la porte principale, les autres jours elle était fermée. Mais Nini, ayant sans doute ...
    ... convaincu la soutane de sa bonne foi en avait obtenu une clé et s’y rendait fréquemment. Mes fantasmes y emmenaient tour à tour chacune de ces femelles frustrées et assoiffées de sexe, de bite. Ce lieu était devenu pour moi un véritable piège à fornication mentale. La nuit maintenant tout se qui m’occupait la tête et les mains se passait dans l’église
    
    Cela promettait ! Je m’étais confié à mes collègues Soudanais qui, langue baveuse, avaient hurlé de plaisir et de concupiscence à l’écoute de mes projets.
    
    A la douche j’avais pu remarquer et apprécier leurs attributs tout aussi impressionnant que les miens. Sous la matraque sombre de l’un d’eux pendait bas une paire de couilles à rendre jaloux un dromadaire. Pour obtenir ça, j’imaginais qu’il devait tirer dessus avec vigueur à chacune de ses parties de plaisir solitaire.
    
    Après avoir mille fois pensé à offrir à Nini un crucifix au bout arrondi… Une idée que j’abandonnais, craignant des accusations de blasphème et mon renvoi immédiat de l’Erapadéconcato. Quoique impatient, j’avais tout mon temps et je décidais de monter tranquillement à l’assaut de cette Nini, d’y aller en chasseur malin, en sauvage civilisé. Pour réduire à merci cette dodue bécasse, je m’arrangeais pour me trouver sur son chemin aussi souvent que possible. Ayant bien compris son emploi du temps, celui de sa bigoterie, je décidais, avec la plus grande hypocrisie, de jouer son jeu, de l’approcher sans l’effaroucher, de la séduire avec méthode et persévérance. ...
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