La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... connaître le goût de tous vos liquides.
A deux mains, elle engouffra ma nouille molle, couilles non-comprises, à pleine bouche puis par vague de hoquets, d’éructations et d’étranglements recracha dans le pot de chambre tout ce qu’elle n’arrivait pas à avaler. Une bonne part glissait sur ses seins qu’elle triturait à pleines mains. Je sentis un de ses doigts chercher mon trou du cul et pénétrer profondément mon anus, décidément elle n’aimait pas que ma bite ! Alors, par petites pressions habiles de ses lèvres sur mon sexe et de son doigt dans mon trou du cul, tour à tour, elle me faisait gicler ou fermait mon gland. Je donnais de vigoureux coup de reins en retrait pour me soulager et pisser à mon aise, mais madame la marquise savait ce qu’elle voulait et se donnait de petits jets sur la langue ou bloquait mon urine à volonté. Une surdouée ! Je dû extraire ma bite de force du fond de sa gorge. Grognant, elle retint longuement mon gland entre ses dents et me l’aurait mâché et dévoré sans scrupule telles étaient sa gourmandise et sa faim de sexe.
— Vous reviendrez Momo ?
Effectivement je revins souvent, bricolage ou pas, dans cette chambre de sorcière à particule. A son grand plaisir, je fini par baptiser Anémone, tantôt Marquise de mes Deux, tantôt Comtesse du Trou. Son orgueil d’aristo avait cédé depuis longtemps devant son goût pour la fornication.
Bien qu’il n’y ait plus si souvent de lampes à réparer, de fils qui pendouillent, la Comtesse- Marquise et moi ...
... trouvions sans cesse des moments où s’enculer était facile. C’était un petit jeu vicieux entre nous. Des appels innocents par le standard téléphonique à des moments choisis, par exemple au moment des repas sous des prétextes rigolos.
- Comment de la langouste à midi ? Encore ? Je reste chez moi qu’on ne me dérange pas… Un potage ce soir me suffira !
Cette manipulation de l’institution, nous divertissait et nous excitait au plus haut degré, et ce surnom l’Erapadéconnecato l’amusait beaucoup.
Au fil du temps, j’en vins à lui parler de mes fantasmes de grosses et lui montrer celle qu’on appelait Nini. D’abord, jalouse, elle fit la gueule, mais notre goût partagé pour la fornication lui donna confiance, l’excita et bien vite elle entra dans mon jeu qui la fit saliver elle aussi.
Comme elle voyait cette Nini tous les jours, le récit que je lui faisais de mes fantasmes à propos de ses mamelles et de cet énorme cul, l’avaient provoquée et poussée à l’extrême limite de ses idées lubriques. Elle avait peu d’expérience des femmes mais aujourd’hui tout cela la faisait rêver.
— Ah, mon dieu ! Momo ! Voir ton machin entrer et sortir de cette gélatine de bigote, tes couilles lui frappant les fesses…
Elle en vint à rêver d’y plonger le bras jusqu’au coude. Lorsqu’elle m’en parla, cette idée me fit triquer comme jamais. Ce jour là nous repartîmes pour un tour, un coup par devant, un coup par derrière. Tournez manège ! Et, en y remettant ma queue, je me demandais lequel de ses ...