1. Les chaleurs reviennent


    Datte: 10/07/2020, Catégories: fh, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... aguicheur. Elle ne disait rien, j’entendais juste ses soupirs de volupté pendant que je faisais connaissance avec son corps.
    
    En face, ça s’accélérait, c’était un canapé 69, ça se reniflait de partout. Désinhibé par le vin du soir, je troussai la robe de Marie jusqu’au dessus de sa taille, et baissai sa culotte en m’agenouillant jusqu’à ses chevilles. Quelle vue magnifique sur sa lune, ces deux monts délicieux me faisaient de l’œil, j’en profitai alors pour passer un coup de langue tout le long de sa savoureuse raie, aux doux relents de sueur et de savon frais. Je bandais à en faire péter mes boutons de braguette, j’avais une gaule de folie. Je me repositionnai alors debout derrière elle, et tout en lui mordillant le lobe de l’oreille, aventurai mon majeur dans son minou tout chaud et douillet. Je commençai de gentils va-et-vient de mon doigt érigé tout en reluquant les voisins.
    
    Sa respiration s’accélérait, elle tourna doucement son visage, les yeux mi-clos, et m’offrit sa bouche pour quelques baisers. Mes doigts fouillaient maintenant sa chatte alors que nos langues s’emmêlaient avec passion. Elle s’appuya sur le rebord de la fenêtre, je m’amusais à pétrir ses seins à tour de rôle de ma main libre. En face, il avait pénétré sa douce et la fourrait vigoureusement. C’est le moment que je choisis pour défaire ma ceinture, ma braguette, et sortir mon chibre du caleçon, enfin libérer la bête, la laisser prendre l’air. Longuement, lentement, je frottais ma queue à la raie de ...
    ... Marie -depuis le temps que je rêvais de chevaucher ce bon gros cul ! - tout en lui suçotant l’oreille. J’avais soif d’elle, faim d’elle, elle éveillait tellement la gourmandise chez moi. J’avais rêvé tellement souvent de ce moment… Et là, comme ça, elle s’offrait sur un plateau, généreusement, délicieusement.
    
    Je pris ses fesses à deux mains, puis présentai mon gland devant sa jolie petite chatte, pile face à l’entrée de sa grotte d’amour. Marie se cambra lentement, se dressa sur le rebord de la fenêtre, et ma queue entra de toute sa longueur dans le minou accueillant et humide à souhait.
    
    Les voisins semblaient repus sur le canapé, ils avaient fini leur affaire, mais nous continuâmes à les reluquer, tout en commençant notre chevauchée à nous. J’avais la lune de Marie entre mes doigts, et j’allais et venais en elle dans une lente cadence savoureuse. Je tirai sur la fermeture dorsale de sa robe, et en fis glisser le haut pour libérer la poitrine lourde et généreuse de la belle que je commençais à baiser sans ménagement. Ainsi, Marie était maintenant seins nus à sa fenêtre en train de se faire limer par derrière. Elle gémissait doucement, en rythme pendant que je la besognais avec délectation. Mes mains pétrissaient ses deux gros globes, titillaient ses tétons dressés, pendant que j’accélérai encore, les coups de boutoir devenant peu à peu frénétiques. Elle poussait par moment de petits cris, et de charmants « oh oui », qui accroissaient mon désir. De temps à autre, je lui ...