1. Les chaleurs reviennent


    Datte: 10/07/2020, Catégories: fh, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... inespéré, je n’en demandais pas tant.
    
    Nous bûmes l’apéro, éclusant une bouteille de blanc, puis attaquant une deuxième tout en grignotant et discutant. On riait beaucoup, je la taquinais, parfois allant jusqu’à la faire rougir quand je la flattais un peu trop. Elle était timide et un peu prude, ce qui amplifiait mon excitation, j’avais envie de la bousculer gentiment, de réveiller ses sens.
    
    Il y avait dans le salon un bar américain coin-cuisine. C’est l’endroit que je choisis pour fumer ma cigarette et recracher les volutes par la fenêtre qui donnait sur la cour. Elle était restée assise sur le grand canapé, et on continuait de communiquer à distance. Nous étions tous deux passablement éméchés, on vidait les quilles avec une frénésie et une gourmandise de moins en moins contrôlées. Les langues se déliaient, on se taquinait délicieusement, l’ivresse nous ouvrait ses portes cochères.
    
    Tout en expulsant une bouffée de cigarette par la fenêtre, mes yeux se figèrent soudain : en face, par une baie vitrée, on apercevait un vaste salon moderne et bien éclairé. Sur un élégant canapé de cuir, un couple était en train de s’adonner aux plaisirs érotiques. L’homme avait glissé sa main sous la jupe de la jeune femme, et semblait lui titiller la pastille tout en lui roulant le patin du siècle. Elle avait déjà les seins -assez petits— à l’air, et elle semblait prête à l’assaut-sur-canap’.
    
    J’eus un petit rire nerveux qui m’empêcha de finir ma phrase. Marie me demanda ce qu’il ...
    ... se passait, et je lui dis de me rejoindre à la fenêtre. Là, elle se posa à côté de moi, se pencha un peu sur le rebord de la petite fenêtre, et regarda. Je posai naturellement ma main sur sa hanche, comme pour l’empêcher de trop se pencher. Elle regardait sans dire un mot le couple qui s’échauffait en face.
    
    D’une audace que je ne me connaissais guère, ma main glissa sur le rebond de sa fesse. Elle restait là, figée, comme hypnotisée, à reluquer les voisins dans leur tripotage acharné. Vu que ma main effrontée ne semblait pas la déranger, je commençai à lui masser la fesse, tout en suivant également les ébats d’en face. Je sentais sous ma main son cul bien rond qui frétillait lentement. Pas un mot, pas un regard, juste mes doigts qui glissaient lentement sous les plis de la petite robe. En face, ça chauffait à bloc, le type avait sorti son chibre, et la demoiselle le massait vigoureusement. C’est le moment que je choisis pour glisser ma main dans la culotte de Marie, et balader mes phalanges le long de sa raie. Tout en gardant ma main dans son petit bout de soie, je me positionnai derrière elle, et lui déposai un baiser dans la nuque. Elle bascula doucement sa tête en signe de contentement, je l’embrassai de plus belle dans le cou, tout en faisant faire à ma main le tour de ses hanches, sans sortir de la culotte, pour explorer la toison fournie. Le bout de mes doigts joua avec les lèvres humides de Marie pendant que mon autre main entreprit de s’aventurer dans le décolleté ...