Amnésie
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
fplusag,
cocus,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... tête toujours renversée en arrière, je pleure, je tousse, j’ai des renvois, des flots de salive me noient. Régulièrement mon tyran retire sa queue pour me laisser reprendre mon souffle, chassant de ma gorge un torrent de liquide qui me coule dans les narines et sur les yeux. Mais c’est pour mieux m’envahir à nouveau. Chaque fois le monstre trace sa route un peu plus loin dans ma gorge jusqu’à ce que ses couilles viennent se frotter à mon nez. Il me force une ou deux secondes dans cette position ou j’ai la sensation que son gland est dans mes poumons. Puis il me laisse respirer et chasser la salive qui coule.
Je dois avoir la tête d’une folle, le visage renversé ruisselant de bave, le front et les cheveux trempés. D’ailleurs je suis folle. Folle d’accepter ce traitement. Pourquoi ne dis-je pas non ? Pourquoi me faire martyriser de cette façon ? Si ma tête est prisonnière le reste de mon corps est libre et il suffirait que je me lève, ou même que pendant ces instants de respiration je diseassez !
Malgré ma vision inversée et perturbée par les larmes, je découvre ce que la longue tige est devenue. Maintenant elle se tient seule, horizontale, le gland pointu totalement dégagé. Elle me paraît si longue et si grosse que j’en arrive à croire que le mélange de larmes et de salive fait un effet de loupe. Mais après un battement de paupières, c’est toujours une queue impressionnante qui se tient contre mon visage. Même si ma position amplifie la perspective, j’ai du mal à croire ...
... que mon tyran arrive à faire tenir son mandrin dans ma gorge. Ce n’est pas possible !
Mais ses mains donnent le signal, la pression se fait de nouveau plus forte. Instinctivement j’ouvre la bouche. Un mot ! Il suffit d’un mot ! Allez Hélène, dis-le ! Dis-lui d’arrêter. Dis-lui que tu ne veux plus ! Ma raison me hurle de le faire. Mais rien. Je ne fais rien. Si, plutôt, celle que je ne connais pas et qui prend ma place, décide de regarder. Oui, surtout ne pas fermer les yeux.
Je vois passer le monstre, le gland rose et baveux, champignon dont le pied suit, avance, avance, tige sans fin qui fraye son chemin dans ma gorge. Je pleure mais m’oblige à conserver les yeux ouverts. Les couilles passent, ballons gonflés qui tendent la peau. Elles m’aveuglent alors que les mains me bloquent les mâchoires et poussent encore plus pour gagner quelques millimètres. Son petit trou. Oui je vois son trou du cul, œillet à peine plus sombre que la peau autour, à un centimètre de mes yeux.
Chemin inverse. Reflux de la marée qui m’a envahie. La bave m’aveugle à nouveau. Je respire, déglutit, avale, crache, tousse. Un peu moins, peut-être que les premières fois.
— Eh bien voilà. C’est mieux. C’est même pas mal pour une débutante. Je sens qu’on va pouvoir tirer quelque chose de toi.
Dire que je prends sa remarque comme un compliment, c’est un peu exagéré. Mais au moins il ne me ridiculise pas. Il disparaît de mon champ de vision, mais ses mains tracent un chemin le long de mon corps ...