1. Amnésie


    Datte: 10/07/2020, Catégories: fh, 2couples, fplusag, cocus, fsoumise, facial, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, attache, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... second.
    
    J’obéis, heureuse qu’il vienne me rejoindre dans ma nudité et curieuse de découvrir ce corps que l’âge n’a pas encore marqué. La peau est lisse, les muscles agréables, les hanches étroites, les fesses deux merveilles de fermeté. Je le palpe à travers le boxer tout en tirant sur l’élastique. Instinctivement je me suis mise à genoux devant lui et si mes mains transmettent à mon cerveau la beauté de qu’elles découvrent derrière, mes yeux s’éblouissent de ce que je vois à l’avant. Le sexe pend sagement sur les bourses. Pas l’ombre d’un duvet, comme d’ailleurs sur tout le corps. Stephan a tout de l’éphèbe, si loin de mon mari dont les poils affirment la masculinité. Mais la virilité de Stéphan est bien sous mes yeux. Le sexe est long, le gland presque totalement caché par la peau qui ne laisse apercevoir, par un anneau étroit, que son extrémité. Il pend, habillant les deux couilles mais descendant bien plus bas. Cela fait une éternité que je n’ai pas regardé le sexe de mon mari, mais tout de même je suis certaine qu’au repos la tige n’est pas si longue ni épaisse.
    
    — Suce-moi, dit la voix, là-haut.
    
    Généralement cela me dégoûte de prendre un sexe dans la bouche. Qui peut bien aimer papouiller ce morceau de chair dont la fonction, au repos, n’incite pas à la poésie ? Je n’ai jamais aimé la fellation. Marc a longtemps essayé de me convaincre, utilisant les artifices du miel ou de la confiture dont il se tartinait le sexe, mais non, ce n’est pas mon truc. Mais ...
    ... pourtant, cette fois, j’en ai presque vraiment envie. Je le prends en bouche. Je fais l’effort de le sucer mais étrangement je n’arrive même pas à le faire bander.
    
    — C’est tout ? interroge-t-il d’une voix courroucée. Ton mari ne t’a jamais appris ce que les hommes aiment ?
    
    Que répondre ? J’essaie de le branler, mais je n’ai pas plus de succès.
    
    — Viens, me dit la voix en colère.
    
    J’obéis, me rendant compte combien je suis cruche et inexpérimentée. Il me guide. Quelques pas et un bureau s’interpose. D’une main rageuse Stéphan balaye les quelques objets qui décorent sa surface. Il me fait allonger. C’est trop court pour que je puisse tenir entièrement. Des mains me guident. Me voilà sur le dos, les jambes et la tête dans le vide. C’est plus qu’inconfortable. Stéphan fait le tour. La tête renversée en arrière, je le vois d’en-dessous se branler contre mon visage. La tige souple que je n’ai pas réussi à réveiller se raidit sous la main de son maître. Ce n’est pas encore le bâton que l’on s’attend à voir mais elle est suffisamment tendue pour que, la guidant de la main, il dépose le bout entre mes lèvres que je n’ai pas osé garder closes. Des mains puissantes saisissent ma tête et je dois accepter que le bout fasse son chemin dans ma bouche.
    
    C’est encore une tige dont la souplesse est suffisante pour fléchir et se laisser diriger, mais à chaque seconde elle devient plus dure et longue. Les mains ne faiblissent pas et la tige devient roseau, puis bâton, et je m’étouffe. La ...
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