Amnésie
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
fplusag,
cocus,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... pour venir se saisir de mes jambes, les soulever et les écarter.
— Ohhh !
Je ne peux retenir un cri lorsque je sens son visage entre mes cuisses et sa langue glisser le long de ma fente. J’ai droit au plus doux des cadeaux, de ceux que des lèvres et une langue experte peuvent apporter à une femme. Sa douceur est infinie, son toucher parfait. Il me fait jouir longtemps et je le régale de ma liqueur.
Puis il se redresse, m’écartant encore plus de ses mains puissantes pour que son long mandrin vienne se glisser dans ma fente. Il rampe lentement, avance, recule pour repartir en avant et terminer sa course tout au fond de ma matrice, dans une région encore inexplorée. Que c’est bon de se sentir possédée par une queue dont la dureté et la vigueur vous remplit entièrement ! Stephan me prend lentement au début mais très vite sa fougue prend le dessus et il me bourre avec force. C’est violent, mais étrangement j’aime cette façon de me baiser. Sa bite m’envahit et m’abandonne, encore et encore. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains, mais une poupée qui avance sa main pour caresser son clito et parfaire son plaisir.
Il sort de moi. Je crois alors qu’il veut jouir sur moi, mais en réalité c’est pour placer sa queue contre mon petit trou.
Il va me sodomiser.
— Non, pas par là ! dis-je pour arrêter son geste.
J’ai toujours refusé ce chemin à mon mari qui a depuis bien longtemps abandonné toute velléité d’insister.
— Pas de ça avec moi ! Il réfléchit un ...
... instant. Mais pourquoi pas, gardons cela pour plus tard.
Il revient alors à ma bouche et bloque son sexe au fond de ma gorge. Il tient de nouveau son visage et fait de courts allers-retours qui branlent son gland contre ma glotte jusqu’à ce que jaillisse le liquide âcre et gluant que je ne peux lui refuser de recevoir et que je ne peux qu’avaler.
Une heure plus tard, descendant l’escalier quatre à quatre, c’est une femme furieuse qui s’enfuit. Furieuse contre cet homme qui a abusé d’elle et l’a soumise aux pires des horreurs. Furieuse contre elle-même de s’être laissée faire, emportée par je ne sais quelle recherche de sensations fortes.
— La prochaine fois, je te prends par le cul ! lui a dit son amant, sûr de lui en la raccompagnant à la porte.
Croit-il qu’elle va revenir ? Il se fourre le doigt dans l’œil ! Pervers. Sadique. Manipulateur.
oooOooo
En débouchant dans la rue, elle a un moment de recul. Tout le monde doit lire sur son visage ce qui vient de se passer. Il lui semble que les passants la regardent à la dérobée, détaillant son visage, sa tenue.Oh, mon dieu, peut-être ai-je encore des traces de salive ou de sperme sur la figure ? Elle s’était laborieusement essuyée : Stéphan n’avait pas voulu qu’elle fasse une toilette plus approfondie afin qu’elle restedans son jus jusqu’à chez elle. Et son jus, elle en a encore le goût dans la bouche. Le soleil s’est caché et le vent annonciateur d’un orage lui fait ressentir sa nudité. Culotte et soutien-gorge sont ...