COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (3/4)
Datte: 09/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... Viens, on va à l’eau, tu as assez mangé, tu vas devenir boulimique, garde le reste pour demain, le samedi sœur Rose qui travaille aux cuisines prépare des tartes aux pommes pour le dimanche midi, nous évitons de leur faire voir que nous avons une clef.
• Notre évêque a dit à mes parents que tous les dimanches notre curé venait nous confesser et à onze heures donnait la messe et nous faisait communier.
• Tu connais l’évêque, je comprends pourquoi Séraphine te protège et t’a placé à la comptabilité.
• Elle me protège, demande à mon cul, il te dira qu’il n’y avait rien qui le protège entre la badine et lui.
J’entre dans l’eau pour ma deuxième leçon, je flotte déjà, deux choses positives, elle m’apprend à faire la grenouille, chaque fois que j’écarte mes jambes l’eau fraîche caresse ma chatte et je sens des sensations, de plus l’eau sur mon fessier le régénère.
• Il est temps de rentrer mes sœurs, l’orage gronde au loin, nous allons avoir de l’eau d’ici peu.
Nous sommes à peine entrés, que la pluie commence à tomber, nous repassons par la chapelle, je regarde les cierges, les deux sont à sa place, je m’approche de celui qui manquait.
Je le sens sur son support, en plus de la cire, l’odeur de la mère supérieure que j’ai sentie hier, pour ma première expérience sexuelle, est présente.
Je quitte mes copines qui me regardent bizarrement, me voir sentir la base du cierge a dû les interpeller, alors que, par les vitraux la lumière de la foudre illumine la ...
... chapelle et ensuite les couloirs, je retrouve mon lit.
• Aurore, viens me voir !
Je quitte mes copines qui me regardent bizarrement, me voir sentir la base du cierge a dû les interpeller, alors que, par les vitraux la lumière de la foudre illumine la chapelle et ensuite les couloirs, je retrouve mon lit.
Elle m’ouvre ses draps, je laisse tomber ma chemise et comme d’habitude seulement la tête recouverte de ma coiffe, comme elle, elle me prend dans ses bras et laisse retomber le drap sur nos corps.
• Ah !
La foudre est tombée, mais un peu plus loin que le couvent, l’orage s’éloigne, ce « ah », c’est ma maîtresse qui vient de le dire, elle est terrorisée, je la serre dans mes bras.
C’est le monde à l’envers, la jeune fille de moins de vingt ans rassure la femme d’une quarantaine d’années, car même si les copines l’appellent la vieille, elle ne l’est pas.
L’orage étant loin, elle se détend et finit par m’embrasser, nos langues s’enroulent, sa main commence à me caresser les seins, l’autre se déplace sur mes fesses, ce qui me fait sursauter.
• Je regrette de t’avoir flagellée, tu es si compréhensive.
• Non, Séraphine, je l’avais mérité.
• Vous étiez encore à la mare ce soir.
• Oui, mais je t’en supplie, pas la badine, laisse mon postérieur digérer la raclée d’hier.
• Je pourrais recommencer dans quelques jours, j’aimerais que ce soit toi qui me flagelles la prochaine fois nous laverons nos pêchers en famille, d’autant plus que dimanche, il y aura ...