COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (3/4)
Datte: 09/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Qui aurait pu croire ce qu’il vient de m’arriver en peu de temps, depuis que mes parents m’ont conduite dans ce couvent où se trouvent vingt-deux sœurs et novice comme moi ?
Je me gouine avec la mère supérieure, je vais me baigner dans une mare où deux d’entre elles m’ont entraîné et je me fais fouetter les fesses avec une badine souple à m’en empêcher de pouvoir m’asseoir.
Ce n’est pas grave pour me punir plus sévèrement, la mère supérieure que je dois appeler par son nom Séraphine, sous couvert de trouver les autres sœurs qui ont participé à notre petite expédition nocturne me privent de nourriture pendant trois jours.
Je dois lire la sainte Bible à la place de sœur Anaïs, qui s’empiffre de pain et de lait alors que je n’ai droit qu’à un verre d’eau, même pas agrémenté du moindre quignon.
Aujourd’hui, ça fait deux jours que je suis punie, sœur Marie et Josette, se fichent de moi, c’est bien la solidarité féminine, mais je comprends vite que si ces petites garces peuvent me baiser, elles le font sans aucun scrupule.
Je les aime bien tout de même, surtout quand discrètement elles me passent trois pommes cueillies dans le vergé, évidemment, elles sont vertes à me casser les dents dessus,
Avec l’abstinence, je suis obligée de courir vers les toilettes me vider les intestins en plein milieu de la prière me faisant une nouvelle fois remarquer.
Cette nuit, Séraphine a voulu se laver seule, nul doute qu’elle a pensé que j’avais la gastro, car je l’ai vue se ...
... faire des ablutions aux mains.
Comme elle me l’a demandé, la porte est seulement poussée, des petits cris facilement reconnaissables se font entendre, Séraphine doit jouer avec son corps.
Tapis comme mes amies hier, je vois que la lumière bougeante est due à la chandelle allumée sur sa table de nuit.
Quelle salope cette mère supérieure !
Elle a les cuisses écartées et bien que je sois placé de côté, je vois nettement ce qui sort de sa chatte, elle se pénètre avec l’un des cierges que l’église fournit au couvent.
Sans savoir combien de longueur son vagin ingurgite, entre vingt et trente centimètres entre et sort chaque fois que sa main le fait manœuvrer.
Ce qui m’étonne le plus, c’est le diamètre de celui-ci, il y en a deux dans la chapelle du même modèle de chaque côté de l’hôtel.
C’est à ce moment que je sens la même main sur ma bouche et sur mes seins qu’hier, la différence, c’est la douleur du corps de Marie qui touche mes fesses encore très sensibles.
Sensible, oui, mais ce contact me procure beaucoup de plaisir, je sens que je suis prête à recevoir la même quantité de verges, deviendrais-je accro à ces volées de bois vert ?
La voix de Marie à mon oreille me parle dans un souffle pour éviter que Séraphine ne nous surprenne.
• Chute, c’est nous, nous étions sûrs que notre sainte mère supérieure honorerait son con avec son cierge, viens, tu as vu ce qu’il y avait à voir, la vieille pute se défonce la chatte régulièrement presque chaque soir.
Du ...