1. COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (3/4)


    Datte: 09/07/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... côté de Séraphine, le cierge d’un diamètre indéfinissable mais conséquent atteint son apogée, c’est au moment où son corps se tend, qu’un livre qu’elle tenait dans sa main opposée tombe au sol.
    
    • Viens sortons, allons à la mare, nous discuterons là-bas.
    
    Encore une nouveauté pour moi, comment peut-on être aussi lubrique dans un lieu consacré à la méditation, elles sont saintes pendant les journées, putes les nuits, ça semble être la devise de notre couvent.
    
    Tout me va, depuis que ma chatte et surtout mon clito me démange, quand maman m’avait expliqué que seules les filles vierges pouvaient aspirer à devenir bonne sœur, j’avais un peu peur.
    
    • Tient, mange, nous sommes venues près de la mare apporter quelques fruits et du pain pour que tu évites de mourir de faim, Josette a réussi à faire fabriquer le double de la clef de la cuisine.
    
    • La pomme n’a pas été cueillie sur les arbres du verger comme tu l’as constaté, mange sans crainte, nous t’avons bizuté, comme tu n’as rien dit de notre escapade nocturne, tu es maintenant des nôtres.
    
    • Comment as-tu eu la clef ?
    
    • Sœur Agathe qui gère les cuisines et la réserve a eu un faible pour elle.
    
    • Je me partageais entre Séraphine, je pense qu’elle t’a dit de l’appeler ainsi.
    
    • Oui.
    
    • Et notre sœur, j’ai trouvé un double de la clef dans sa table de nuit quand elle est partie chercher un cierge dans la réserve, je l’ai donnée à ma sœur qui vient me voir tous les mois et qui en a fait ce double que je cache dans ...
    ... ma paillasse.
    
    • Moi aussi, te pénètres-tu avec un cierge ?
    
    • Toutes ici, même les plus âgés,
    
    • Incroyable et moi qui pensais devenir vieille fille en venant ici, si j’avais su que vous étiez de fieffées salopes, j’aurais demandé à mes parents de me conduire dans votre couvent bien plus tôt.
    
    • Es-tu vierge ?
    
    • Oui.
    
    • Veux-tu que l’on te déflore, Marie peut aller chercher le deuxième cierge dans la chapelle, l’autre c’est notre mère qui l’a dans son vagin ?
    
    • Tu as vu que pour éviter de tout traverser pour venir jusqu’à nos cellules, nous longeons le réfectoire, puis passons par la chapelle, c’est plus court, nous avions vu que le cierge à droite de l’hôtel était parti en vadrouille, nous étions sûrs de savoir où le retrouver.
    
    • Tu es folle, jamais mon petit trou, ne supportera un tel engin et surtout un tel diamètre.
    
    En parlant, je croquais à belles dents dans une pomme bien juteuse, tout en mangeant du pain.
    
    • Nous te faisons marcher comme nous l’avons fait hier, sachant comment tes deux sphères se retrouveraient ce matin, ton dépucelage, nous le laissons à Séraphine.
    
    Si elle voit que tu n’es plus vierge, c’est la porte assurée même si l’argent que tes parents vont donner est primordial pour notre couvent, sœur Alice une novice arrivée avant Josette, l’a compris quand elle s’est retrouvée dehors quand elle lui a mis les doigts.
    
    Encore une nouveauté, je vais avoir un cierge dans le vagin, quel lieu de fous, je devrais dire de folles !
    
    • ...