1. Une jour a la salle de gym


    Datte: 08/07/2020, Catégories: fh, gymnastiqu, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, Auteur: Lau64, Source: Revebebe

    ... Je crois que "oui" mais je vois mal comment je pourrais vérifier mes suppositions ici.
    — Je ne voie pas ce qui t’en empêche, nous sommes seuls.
    — Oui mais et si quelqu’un….
    — Chut, embrasse-moi encore !
    
    Nos lèvres se rencontrent de nouveau. Je suis tout proche de toi maintenant et je sens ta main qui délicatement prend la mienne. Tu l’attires vers toi, tu m’indiques le chemin. Tu me déposes sur un de tes seins, ils sont gonflés, durs, ainsi que ton téton qui pointe définitivement. Ta main me rattrape de nouveau et m’attire doucement vers le bas.
    
    — Tu sais ce qu’il te reste à faire, non ?
    
    Oui, je le sais. Ma main glisse sur ton corsaire, glisse, glisse lentement vers ton sexe. Ça y est, je suis dessus. Je te touche à travers ce vêtement gênant. Je distingue nettement les lèvres, ainsi que ton clitoris que je devine lui aussi gonflé et impatient de caresses. Je te caresse lentement au travers du tissu, je vais, je viens, branlant ton clitoris et descendant vers l’entrée. Ton souffle s’accélère et tu avances le bassin vers ma main.
    
    — Ta main… passe en dessous….
    
    Ce que je fais sans me faire prier. Je remonte, écarte l’élastique et poursuit ma route vers le mon olympe. Tu attends, impatiente, ton souffle s’accélère au fur et a mesure que ma main se rapproche. Maintenant ça y est, mes doigts atteignent tout d’abord ton clitoris. J’utilise mon majeur pour te caresser. Tu gémis.
    
    — Continue mon cochon, j’aime que tu me caresses…
    
    Doucement je continue à te ...
    ... branler le clitoris, mon rythme va crescendo, en même temps que ton souffle qui se fait court. Je fais pénétrer mon majeur dans ton buisson ardent. Il n’a aucun mal à entrer tant ton sexe est humide. Mon index le rejoint bien rapidement, entrant tout aussi facilement. Tu gémis de plus belle, savourant avec délice le fait d’avoir deux de mes doigts en toi qui fouillent ton intimité, allant et venant aussi vite que possible. Tu ruisselles sous l’assaut de mes doigts. Mon pouce est sur ton clitoris, le pressant délicatement, le faisant tourner et virevolter à la manière d’une ballerine.
    
    Tu es complètement allongée sur l’appareil de « torture » essayant de me faciliter au maximum l’accès à ton antre de plaisir.
    
    Ma main est fichée en toi. Je trouve encore la place de mettre un troisième doigt dans ton sexe, tu souffles lorsque lentement je pousse mon annulaire en toi, mais bientôt ce souffle devient gémissement, puis râle de plaisir. Mon pouce branle toujours ton clitoris, de plus en plus vite, comme un derviche tourneur.
    
    Tu as du mal à récupérer ton souffle. Je sens que tu es proche du dénouement. Alors, d’un coup, je soulève ton corsaire, l’arrachant pratiquement. Je m’agenouille devant toi, je laisse redescendre la pression. Lorsque je sens que tu reprends tes esprits, je me penche vers ton sexe ouvert, je l’admire, le désire. Je plonge littéralement vers toi, ma langue en avant. Je la fais entrer en toi, goûtant ton jus d’amour, m’en délectant. Je te pénètre avec ma ...