1. Une jour a la salle de gym


    Datte: 08/07/2020, Catégories: fh, gymnastiqu, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, Auteur: Lau64, Source: Revebebe

    Nous sommes vendredi matin, les enfants sont à l’école.
    
    Comme il ne fait pas très beau, nous décidons d’aller nous dépenser à la salle de sport. Pas de voiture sur le parking, nous allons être les seuls à profiter de la salle, tant mieux, on n’entendra pas les retraités parler chiffons.
    
    Nous nous changeons, chacun dans son vestiaire. Je suis le premier à sortir et je commence à m’étirer à l’aide d’un bâton en bois. Tu arrives ensuite, vêtue de ton corsaire moulant et de ton petit haut bleu pâle. Tu es toute mignonne avec tes cheveux attachés, ton regard motivé et surtout cette tenue.
    
    Tu te moques gentiment de moi et déposes un baiser sur mes lèvres. Ton petit goût sucré me motive et je m’étire de plus belle.
    
    De ton coté, tu montes sur ton engin à courir pour une dizaine de minutes de course effrénée. Je te regarde courir alors que je suis en train de soulever quelques poids. Comme d’habitude, mon bras droit suit tranquillement alors que mon bras gauche a bien du mal. Un jour, il suivra mais en tout cas aujourd’hui il n’en a pas envie. Je commence à souffler un peu entre deux séries et je te regarde. Ton visage est devenu rouge sous l’effort, tu respires de plus en plus fort. Tu es belle. J’admire ton corps qui me fascine tant, mes yeux s’attardent sur ton cou délicat, descendent sur tes seins, poursuivent leur route vers tes reins et enfin atterrissent sur tes fesses sublimes. Miam, je me délecte du spectacle et je t’imagine en train de faire le même exercice ...
    ... mais entièrement nue. Ça y est ! Je suis dans mes pensées, la tête ailleurs.
    
    Tu me tires de mes rêveries, tu as fini ton premier exercice. Tu es près de moi, je ne t’avais même pas vu ni entendu approcher.
    
    — À quoi pensais-tu ?
    — À rien, j’étais tout simplement ailleurs…
    — C’est ça, je te connais et rien qu’à voir ta tête, je me doute à quoi tu pensais et ce n’était certainement pas au temps qu’il fait dehors…
    — N’importe quoi.
    
    Sur ce, tu t’éloignes de moi, déposant au passage un léger baiser sur la bouche, ta langue sort subrepticement et m’humidifie les lèvres.
    
    — Que me vaut ce bisou ?
    — Rien, c’est comme ça. J’aime te faire de petits bisous mignons. Allez, au boulot feignasse !
    
    Et je m’y remets tant bien que mal mais ma tête est définitivement ailleurs. Et, comme si tu le faisais exprès, tu te diriges vers l’appareil qui muscle les adducteurs. Tu règles la position et tu t’installes. Je te regarde faire, ton regard croise le mien. Je crois apercevoir comme une petite étincelle mais j’ai dû rêver.
    
    Tu commences ton exercice, ouvrant largement les cuisses et les refermant. J’ai amplement le temps d’apercevoir ton entrejambe, ou du moins d’imaginer que je l’aperçois. De nouveau tu me sors de ma rêverie :
    
    — Tu voies, je te connais. Ce n’était pas le mur que tu étais en train de regarder, avoue !
    — Tu veux que j’avoue ? Et bien d’accord. J’étais en train de t’imaginer faisant le même exercice mais entièrement nue et qu’à chaque fois que tu écartais les ...
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