1. Une jour a la salle de gym


    Datte: 08/07/2020, Catégories: fh, gymnastiqu, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, Auteur: Lau64, Source: Revebebe

    ... cuisses, je pouvais admirer ton sexe.
    — Ah ah ! Je le savais. J’aime que tu m’avoues tes pensées. Mais ce n’est pas le moment de penser à ce genre de choses. Pour l’instant nous sommes seuls mais quelqu’un peut arriver n’importe quand.
    — D’accord, d’accord, je m’y remets…
    
    Je choisis donc un nouvel appareil permettant de faire travailler les biceps. Ce faisant, je suis maintenant plus proche de toi et presque en face de toi. Cette fois-ci, je sens que tu me regardes. J’ai du mal à soulever ces poids, je souffle, je râle, je deviens tout rouge sous l’effort moi aussi. Une fois ma première série terminée, je te regarde de nouveau. Nos regards se croisent.
    
    Cette fois-ci je n’ai pas rêvé, l’étincelle est là. Je la distingue très nettement. Et ça aussi c’est un signe que je connais sur le bout des doigts, le signe que tes pensées à toi aussi, étaient ailleurs.
    
    Ton regard m’invite, mon regard te suit. De nouveau, je parcours ton corps des yeux. Je m’arrête sur tes seins, tes tétons pointent. Tes tétons pointent ?
    
    — J’ai cru que tu n’allais jamais remarquer !
    — Tu n’as pas mis de soutif ? Pourquoi ?
    — Qui sait ? Moi aussi j’ai mes idées… Mais ce n’est pas tout…
    — Ce n’est pas tout ? Qu’il y a-t-il d’autre ?
    — À toi de le découvrir.
    
    Je continue mon inspection visuelle. Tu poursuis ton exercice, tes jambes s’écartent, s’attardent en position grand large. Et là, je vois ce que tu voulais que je découvre : je distingue très nettement ton sexe. Et maintenant je sais ...
    ... : tu n’as pas mis non plus de culotte…
    
    — Tu n’as rien mis en bas non plus ?
    — Monsieur a l’œil observateur. Ou plutôt devrai-je dire inquisiteur…
    — Petite coquine va. Et maintenant, que dois-je faire ?
    — Je ne sais pas, peut-être tout simplement t’approcher de moi pour commencer.
    
    Alors aussitôt dit, aussitôt fait. Je me lève, laisse tomber ces haltères dont je ne saurai que faire et je m’approche de toi. Je me mets face à toi, je te regarde droit dans les yeux, devinant tes intentions mais m’y refusant encore un peu : nous sommes heureusement encore seuls, mais pour combien de temps ?
    
    — Approche-toi encore mon homme ! Tu es encore beaucoup trop loin.
    
    Alors je me rapproche encore, je suis maintenant tout près de toi, juste en face de toi. Tes jambes sont grandes ouvertes et mon regard va-et-vient, de ton beau visage à ton entrejambe.
    
    Je me penche. Cette fois, c’est moi qui dépose un baiser malicieux sur tes lèvres. Je sens tes lèvres pulpeuses contre les miennes, tes lèvres délicieuses, excitantes, attirantes et expertes. Ma langue rencontre la tienne et nous nous embrassons. Tout d’abord lentement puis de plus en plus passionnément. Nos souffles se mélangent, nos langues s’enroulent l’une dans l’autre. Je te mords la lèvre inférieure avant de me détacher de ta bouche. Ton regard ce fait coquin :
    
    — Est-ce que tu bandes mon Cœur ?
    — D’après toi ? Et toi, est-ce que ton sexe est mouille ?
    — À toi de le découvrir, mais je pense que tu connais la réponse.
    — ...
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