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COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (5/8)
Datte: 07/07/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... moment, je n’ai jamais vu Pierre tenir sa queue en état de marche aussi longtemps. Sur son méat une goutte de sperme perle. Je me lève. Après le gode, je pensais faire une danse, là encore lascive sur la fin du morceau. Je vois l’urgence que l’état de Pierre représente. Je me place les genoux sur le fauteuil et c’est lui qui me met sa verge dans la chatte, toujours aussi bien lubrifiée. Je vais pour bouger dessus quand je sens quelque chose s’enfoncer dans mon anus, ce que ma position permet. Je venais de poser ma bouche sur celle de Pierre qui me malaxe les seins comme il sait que j’aime qu’il s’en occupe. Il est vrai que lors de ses carences, je l’ai habitué à s’occuper d’eux, car jusque-là, ils n’étaient pas sa priorité. Ce doigt c’est celui de Noël qui s’est levé. - Va Noël encule là, elle a des fantasmes avec ses pieds et les nôtres alors pourquoi pas se faire prendre en double pénétration. Il le fait et par là même il m’offre mon plus beau cadeau de noël même si je suis la seule à savoir que je n’aurais jamais eu un tel fantasme, même si je sais que des femmes se faisant prendre ainsi ça existe. - C’est bien mon pote, tu vois tu es entré comme dans du beurre, elle est tellement dégoulinante d’envie. - Je te sens bien à travers son périnée, bougeons en cadence. C’est ainsi qu’à 58 ans je pratique pour la première fois une double pénétration avec l’homme de ma vie et avec un gamin qui pourrait être mon fils. Comme cela a été plusieurs fois le cas au cours de cette soirée, je suis incapable de mettre deux mots bout à bout quand leurs deux verges déchargent simultanément en moi. Combien de temps je dors dans les bras de Pierre, Noël collé à mon dos sur la peau de bête qui nous a reçu ? Le CD s’est arrêté et les bûches finissent de se consumer. Le téléphone sonne. Je tends mon bras, il est posé sur la table basse, à côté du gode défectueux. Je m’en saisis et je décroche. - Joyeux Noël, c’est Épiphanie…