COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (5/8)
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... lascive.
La courbe de mes reins est mise en valeur.
Vu mon âge, j’aurais pu avoir du mal à faire bander toute une salle dans une boîte de strip, mais les deux hommes, dont avant la fin de cette nuit je souhaite tirer le maximum de plaisir, ne sont pas insensibles à mon exhibition.
Je sors une jambe par la fente de ma robe, dommage, j’aurais dû prendre le temps de remettre mes bas cela aurait été plus érotique.
Mais qu’importe.
Ma main se glisse lorsque je laisse ma jupe se refermer, leur cachant ma fente qui reçoit mes doigts quelques secondes.
Pour être mouillée, je suis mouillée, même sur devant de ma robe.
Je me tourne comme si je me lovais dans les bras d’un amant invisible, jusqu’au moment où je défais la broche qui retient l’ensemble.
Elle tombe au sol dans un mouvement gracieux, je place un bras devant mon sexe et l’autre devant mes seins, mon majeur droit posé devant ma bouche.
Je me tourne vers l’un et l’autre.
D’un simple mouvement de ma phalange, je leur envoie des baisers, juste sur les dernières notes de ce morceau.
Je veux continuer mon numéro, d’effeuilleuse, je veux devenir re-feuilleuse, je veux faire le chemin inverse.
La boîte avec la nuisette et le déshabillé est sur la table basse, par chance bien placée par rapport à la position des fauteuils.
Je récupère chaussure et bas, le deuxième avec du mal, il avait été presque se réfugier sous la commode où Pierre range les apéros.
Me posant les fesses sur la table basse, ...
... je me refroidis la chatte, le marbre est froid.
Fin de morceau, nouveau morceau.
Bande son de “A Whiter Shade of Pal” joué en son temps par Procol Harum.
Musique qui là encore me rappelle un amant de ma jeunesse.
J’en ai eu quelques uns, comme toutes jeunes filles normales étant nées avant 1968 et ayant profité de l’élan de ces années où nos parents répétaient « faites l’amour pas la guerre. »
La pilule nous aidait bien, sans pour autant que nous soyons considérées comme des salopes.
Quoi que certaines vieilles de mon quartier, voyant nos mini, se disaient « Qu’avons-nous fait au bon Dieu pour avoir une telle générations de débauchées. »
Bref, je remets mon premier bas, que je lisse consciencieusement, après l’avoir fait monter très lentement.
Je tiens la couture que je tire en relevant ma jambe.
Comme je suis placée, les garçons ont une vue imprenable sur ma chatte.
Je sens qu’elle coule de nouveau, il va falloir que je nettoie le marbre.
Je recommence avec le deuxième bas, finissant par le même mouvement.
Je me saisis de la nuisette que j’enfile et du déshabillé que mes bras reçoivent avec délices, même si les bûches dans mon dos me chauffent assez bien et que je n’ai pas froid.
Je suis fin prête pour mon final.
Je me saisis du gode, j’appuie sur le bouton à sa base.
Merde, pas de pile, Pierre aurait pu penser que j’aurais voulu l’essayer.
Qu’importe donc ce gode.
J’ai deux bites à ma disposition qui bandent depuis un long ...