COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (5/8)
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... même traitement, voire plus car je place mon pied gauche sur les genoux de Pierre.
Il le saisit et se le met directement dans sa bouche.
Autre attaque, autre plaisir.
Il est plus brutal, mais je sens les mains de Noël me contourner, ouvrir le côté de ma robe et me prendre la chatte dans sa main.
Je sens deux doigts de chaque côté de ma fente.
D’un coup ceux de droite glissent, je mouille tellement, qu’ils n’ont pas tenu.
Il les replace, entrant plus profondément, je sens que je réagis encore plus, son pantalon va être lessivé.
Je me repose sur sa poitrine, ses pectoraux réagissant comme peu d’hommes sont capables de le faire.
- Pierre, ta salope semble aimer les pieds, met le tien dans sa chatte, je te l’ai préparée, dépêche, j’ai du mal à tenir, elle est tellement chaude.
Au moment où, dans ma position presque allongée sur mon amant nos bouches se trouvent, je vois le pied de Pierre s’avancer vers mon vagin.
Je voulais réaliser mon fantasme de pied dans ma bouche, je viens de le réaliser dans deux bouches différentes, mais aussi un pied dans une chatte.
Dans le film qui n’était pas porno, juste interdit aux moins de 16 ans, des scènes étaient brûlantes mais elles n’allaient pas jusque là.
Où si cela se faisait, c’était hors caméra.
Il a enlevé son chausson, oui je sais ça ne fait pas bandant, mais il aime avoir ses aises.
Je suis un peu déçue.
Pour pouvoir faire ce que demande Noël, il enlève mon pied de sa bouche, mais ...
... c’est pour mieux placer le sien à l’orée de ce qui est encore mon corps.
Je dis « encore » car lorsqu’il entre en moi, j’arrive à des sommets, avant de les mettre tous en moi, son gros orteils caressant mon clito.
Pauvre pantalon, il va être délavé à l’emplacement du sexe de Noël !
Sans le vouloir, mon pied sorti de sa bouche, repose sur son jean. Pierre semble ne jamais avoir autant bandé, du moins avec moi.
Je suis obligée de quitter la bouche à laquelle la mienne était soudée, quand ayant enlevé ses doigts inutiles tellement le pied est en moi, il me triture le clitoris.
Je veux tout dire de ce que je ressens mais je suis incapable d’émettre le moindre son, tellement je me mets à planer à dix mille.
Toute bonne chose a un début et une fin, je reprends conscience.
Je suis aux pieds de mes hommes, j’ai dû chuter.
Ils ont enlevé leur pantalon et sous vêtements.
Ils sont nus, ils se caressent leur queue.
Au singulier pou le moment car chacun caresse la sienne.
Les sons de la sono me reviennent aux oreilles, un nouveau morceau démarre « I’Il Never Leave You » par Nicole Croisille, chanteuse de ma jeunesse, mais seulement la version musique comme tout le CD.
J’avais connu mon premier homme sur cette chanson, je n’oublie pas mes cadeaux, c’est pour eux que je suis montée dans ma chambre.
Je me relève, je remets mes chaussures, je veux que dans le strip que j’entame, me servant de mes mains sur le haut de mon corps, je suis de plus en plus ...